(m) It's a very, very mad world ULLIEL.

MARTIN GUILLAUME nom au choix, 20 Y.O La date de naissance est au choix par contre Martin doit avoir 20 ans, ni plus, ni moins. Il est français et peut avoir une origine autre que française mais du côté de sa mère. Il est étudiant aux Beaux-Arts, il est passionné par l'art en général et par la musique. Martin c'est le garçon de bonne famille certes, mais ce n'est pas pour autant que c'est le genre parfait. Il est du genre rebelle, ce n'est pas le gars qui va aller casser des voitures mais il aimerait vivre comme un artiste, dans une vie avec des imprévues, une vie qu'on ne peut pas rédiger à l'avance. Il n'aime pas toutes les conventions que sa famille lui impose mais il ne se voit pas les envoyer balader. Il est coincé entre l'attachement qu'il tient à sa famille et le fait qu'il veut prendre son envol. C'est un garçon assez discret mais qui sait s'amuser et faire rire la galerie. Il est complexe, du genre mystérieux. Il intrigue autant qu'il séduit. Il sait qu'il a un charme qui ne laisse aucune fille indifférente et il aime en jouer. Il adore jouer de la guitare sur une pelouse de la place des Vosges où au jardin des Tuileries. C'est un rêveur, un artiste. Il a toujours était le leader sans jamais le vouloir, on lui fait confiance dès le premier regard. Spoiler: « Léonye ? » J'étais dans les couloirs du grand hôtel Crillon, là où se déroulait tous les ans l'événement. Je me retournais automatiquement à l'appel de mon prénom. Un grand brun ténébreux, incroyablement séduisant se tenait devant moi. Je ne le connaissais pas mais comptait bien le faire ... « Oui c'est bien moi. » Je lui fis un de mes plus beaux sourire. Je n'étais pas du genre à coucher à droite, à gauche, mais j'aimais jouer de mon charme pour draguer les garçons séduisant, il fallait bien l'avouer. « Je suis Martin, votre cavalier. » Il me souriait avec ce sourire colgate ultra bright, et moi je restais plantée là sans savoir trop quoi dire? Je m'attendais à un garçon banal, sans classe ni style et au lien de ça je me retrouvais là avec l'homme idéal. « Mon cavalier ? Je m'attendais pas à quelqu'un comme ça. » Il fit une tête étonnée, c'était un peu normal en même temps. « Nan fin je veux dire que je m'attendais à avoir un cavalier absolument pas beau et élégant et ... » Je sentais que je m'enfonçais toute seule et que mes joues s'empourpraient. Il paraissait amusé par ma mal adresse sans être moqueur. « Bref, tout ce que je veux dire c'est ... bien, je suis contente que ce soit vous. » Il fallait que j'arrête immédiatement de me ridiculiser inutilement. « Et que diriez-vous si on se tutoyait ? » Je lui souris aussitôt, je me sentais bête d'être aussi en admiration devant lui ... « Ça me va parfaitement à une condition, que tu m'appelle Léo et non Léonye. » Il acquiesça toujours avec ce même sourire ravageur. Cela fait maintenant deux ans que Martin et Léonye se connaissent. Ils sont devenus meilleurs amis et suivent les mêmes cours aux Beaux-Arts. Ils ne se le sont jamais avoué mais depuis le soir du bal, ils sont tombés amoureux l'un de l'autre mais chacun n'ose y croire se disant que l'autre ne le sera jamais. Ils ont instauré un " cap ou pas cap" s'inspirant fortement du film Jeux d'enfants. Ils se lancent des défis stupides comme : " sort avec telle personne pendant X temps ", des défis qui les blessent chacun de leur côté ... Il n'y a pas longtemps, Martin a sorti à Léo « cap ou pas cap de m'embrasser ? », il n'aurait jamais dû ! Léonye a été cap évidemment, comme toujours, mais depuis, aucun des deux ne peut oublier ce baiser. Ils font comme si de rien n'était mais Martin meurt d'envie de lui redemander ce même "cap ou pas cap". De son côté, Léo ne peut pas s'empêcher de penser à lui et aimerait un jour lui dire " cap ou pas cap de m'aimer comme un fou pour toujours ", elle le fera, un jour ... Gaspard Ulliel est vraiment mon premier choix mais après il est un peu négociable, je suis toujours ouverte à d'autres propositions mais j'avoue être un peu difficile. Pour le nombre de lignes, je demande une moyenne de 30 lignes mais je privilégie un bon vocabulaire (Martin et Léo viennent de famille où le français est impeccable alors même si ils sont jeunes ils ne parlent pas comme des racailles et font attention aux mots qu'ils emploient, mais faut pas s'inquiète ils disent des gros mots et tout le reste, juste ils parlent vraiment correctement).