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BEAUREGARD CAMILLA KÊNE feat. jessica alba

BEAUREGARD CAMILLA • Je suis née le premier jour d'été en Italie. Fille unique d'une mère au foyer ayant vécu toute sa jeunesse en France et d'un père italien mort lorsque j'avais six ans, je me suis rapidement retrouvée à habiter la capitale française. Je n'ai jamais plus considérer le nouveau mari de ma mère comme étant mon beau père puisque de toute évidence le seul homme de ma vie avait perdus la sienne. Personne ne pourras jamais prendre sa place dans mon cœur. Je n'ai connus le vrai amour que depuis que je suis en couple avec Jules, qui m'a d'ailleurs demandé ma main l'année dernière. Pour couronner le tout me voilà enceinte de quelques mois et pourtant la seule à être au courant. Éducatrice au petit chaperon rouge, j'ai toujours porter un véritable amour envers ces petits monstres. Ce n'est pourtant pas un métier qui rapporte mais je fais au moins quelque chose qui me plait.

Bizzarement on ne m'appelle pas, mais on me siffle. Je ne donnerais pas mon prénom donc, ni mon pseudo vu que vous devez déjà le connaître. Mystère et boulle de gomme, hein hein. Je suis très mature pour mon âge, oui j'arrive maintenant à compter de cinq en cinq. Fortiche pour une jeune fille de seize ans n'est-ce pas ? J'aime le forum, en même temps pourquoi je me serais inscrite ( à nouveau ? ) le design est encore plus beau que le premier et je remercie encore notre déesse Léochoute de l'avoir fait. En vérité c'est plus le scénario qui m'a fait craquer en plus du contexte de la vie parisienne, quelle galère. Je dis chapeau à celle qui a mis les smilleys (a) JESSICA THE BEST ET JE VOUS AIME :D

HAPINESS WAS JUST OUTSIDE MY WINDOW

Sommes nous réellement les maitres de notre propre vie, avons nous vraiment les cartes de ce jeu destructeur en main ? Le destin comme l'on appelle ne dessine pas notre vie à l'avance, rien n'est acquis. Il y a toujours la possibilité de remonter à la surface de l'eau, de prendre cette grande inspiration et de réagir, changer le court de notre vie. Seulement un rien peu tout faire basculer. Chaque hommes est sensibles à certains signaux, personne ne réagit de la même façon au aléa de la vie. La fatalité, le pathétique de notre histoire. On replonge dans cette eau glacial et on s'étouffe par le manque d'air. Mais il y a toujours la possibilité de remonter à nouveau, foncé vers la lumière, vaincre ses peurs. Il suffit d'en avoir le courage, de prendre le dessus sur ce destin farceur qui prend un malin plaisir à nous bousiller la vie. C'est à partir de ce jour où l'on a décider de nous reprendre en main que tout devient plus beau, plus facile. On est heureux.

Je n'aime pas l'école, du moins mon école. Je n'aime pas toutes ses pimbêches qui rigolent de façon aussi niaise qu'une chèvre en serait capable. Elles sont hypocrites, mauvaises, manipulatrices et pour couronner le tout elles sont adulées par toutes l'école. Maman venait comme à son habitude me chercher devant la grande battisse blanche. Chaque jour un peu plus, elle me retrouvait dans un état pitoyable. Je n'en pouvais plus de les voir se moquer ainsi des enfants moins fortunés qu'elles. Eux pourtant ont beaucoup plus de valeurs, d'humanité. Mais voilà, ils ne sont pas nés une cuillère en argent dans la bouche et travaille bien à l'école. Et ça, ça ne plait malheureusement pas. Maman avait beau tout faire pour que des explications sortent de ma bouche, le trajet se faisait toujours dans le silence. A peine rentrée je dévalais les escaliers en direction de ma chambre. J'avais subis les sarcasmes de mes camarades toutes la journée, il m'était impossible de faire face à ce vieille homme aigris qui sert de nouveau maris à maman. Papa est partis bien trop vite et les conséquences de son décès ont été des plus douloureuses de par notre emménagement en France. Je regrette ma ville natale, mes amis et ma famille, les paysages, les couchers de soleil et la mer à quelques pas de la maison. A Paris tous me semble moins chaleureux, moins gais. Je me sens mal, je n'y suis pas à ma place mais pourtant je devais m'y faire. Maman avait reconstruit sa vie et semblait se plaire dans cette capitale polluée avec son nouveau mari aux cheveux poivre-sel. Je ne l'aime pas, je n'aime pas sa maison, je n'aime pas son chien et ses amis. Je veux juste revenir en arrière et pouvoir changer le passé. Ou tout simplement oublier cet idylle dans le temps pour mieux m'approprier celui-ci. Je me sens seule, terriblement seule.


Je ne pensais pas en me levant ce matin là dans mon nouvel appartement, celui que cet ignoble beau père m'avait offert pour mes vingt ans, que je ferais une rencontre qui bouleverserait le restant de mes jours. Il ne faisait pas beau et pourtant j'avais le sourire aux lèvres. Un certain pré-sentiment me parcourait tous le corps. L'unique personne en qui je sais pouvoir avoir une confiance aveugle m'avait donné carte blanche sur la décoration de l'appartement - ce qui me semble évident puisque ce n'est en aucun cas grâce à elle si non pouvions au jour d'aujourd'hui vivre notre vie sans se poser le problème des parents. J'avais donc décidé de faire quelques petites emplettes qui s'étaient avérés assez restreintes. Mon pré-sentiment me parut alors complètement ridicule lorsque brutalement je me retrouva au sol, mon sac à moitié vide. Je poussa un juron. A vrai dire je n'avais aucunement envie de cacher ma colère. Mais celle-ci disparu lorsque le visage de l'inconnu assez tête en l'air je dois dire qui m'avait surement inconsciemment renversé, m'apparut. Je fus alors comme paralysée, et une frisson ma parcourra tout le corps lorsque j'attrapa sa main pour me relever. « je peux vous offrir un café ? pour me rattraper. » Ma montre me disait non tandis que mon cœur battait si fort qu'un oui s'imposa. Je ne savais pas où tout ça me mènerait ou si par malchance tout ceci était un scénario prévus pour un enlèvement. Mais je m'en fichais éperdument. « avec plaisir, je m'appelle camilla. » En direction du café le plus proche, je m'efforçais de l'observer de façon discrète mais à vrai dire discrète était loin d'être mon deuxième prénom, ca n'en faisait aucun doute. « jules. » J'afficha alors un sourire énorme, sans aucune raison apparente. J'avais juste trouver cette personne qui ferait resplendir ma journée.


Mal de ventre, étourdissement. Je ne comprenais plus rien à ce qui m'arrivait. Je m'étais fait quelques idées sur la situation et la c'est la boule au ventre que je fixais ce teste de grossesse sur lequel je venais d'uriner. J'étais seul et au combien stressée dans l'attente de la réponse qui dans tous les cas me rendrait autant heureuse qu'angoissée. J'aime Jules de ton mon cœur, sinon pourquoi lui aurais-je dis oui l'année dernière lors de sa demande en mariage, mariage qui fut l'un des plus beaux jour de ma vie. Soupirante, je projeta ma tête en arrière lorsque quelques secondes plus tard, la merveille de technologie qui se trouvait au creux de ma main se mit à sonner. Mes yeux s'écarquillèrent, je n'en revenais pas. Les bras en l'air, je me surpris à sauter sur place. Le teste était positif, j'étais enceinte oui ! J'allais enfin pourvoir m'occuper de mon propre enfant, en plus de ceux que je m'efforce de garder en place au Petit chaperon rouge. Mais la joie retomba aussi vite qu'elle fit son apparition. L'angoisse de faire part de la nouvelle à Jules me monta jusqu'à la gorge. Je tournais et retournais le problème dans ma tête cherchant les mots justes pour ne pas trop le brusquer. Je demanda même conseil à ma meilleure amie, qui fut plus surprise du fait que j'allais avoir un enfant que de mon problème nommé Jules. Ce dernier débarqua à la maison après sa journée de travail. Je m'avança vers lui déterminée à tout lui avouer. L'embrassant je me remémora le discours que j'avais préparé. « mon amour ... » Il se tourna vers moins, ses yeux bleus me toisant. Je souris et ouvrant la bouche rien ne pus en sortir, rien de ce que j'avais l'intention de dire. « restaurant thaï ou japonais pour ce soir ? » Ce n'était juste pas le bon moment, le moment propice pour avouer une choses d'une importance pareil. Il devait être exténué après sa journée de travail, pas la peine dans rajouter une couche. Mais chaque fois que je tente de cracher le morceaux je me retrouve comme bloquée de la mâchoire, mon cerveau se stoppe et m'empêche de lui faire cet aveux. Je suis tout simplement ridicule.

Jessica.
Welcome here. (:

Bienvenue

Jessica
Je veux un lien

Ma femme
Bienvenue !

MERCI TOUT LE MONDE
Valentin's day, comment j'aime trop ce film
MATTHIAS Pas de soucis pour le lien, comment refuser de toute façon.
MOOOON MARI J'aime ton nouvel avatar :D
Et merci pour la réservation :)

JESSICA
Bienvenue et merci de ton inscription (:
Bonne continuation pour ta fiche

Merci

c'est court et pas terrible mais au moins c'est fait :)

J'ADORE
Tu es validée, bon jeu

AWN MERCI