Antoine Derivery ;; Le beau, riche, intelligent & .. Rebelle vous salut. [ENDED]

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Antoine DERIVERY feat. Nicolas Bemberg

ANTOINE DERIVERY • Je me présente, je me prénomme Antoine, pour faire dans la banalité. Mon nom n'est autre que Derivery. Cela ne doit pas encore vous dire grand chose. A vrai dire, jusqu'ici, je me faisais assez discret. Mais ce n'est pas parce que je n'ai pas de particule que je suis a négliger. Vous verrez.
Je suis née a Paris, dans le XVIème. Ca doit déjà vous donner une mélodie de ce que je suis dans la société non ? Bon tempis, vous êtes un peu cruche Darling.. Passons. J'ai vu le jour le 4 mai de l'année 1987. Si vous savez un minimum compter, vous en déduirez que j'ai 23ans. Pour en conclure sur ceci, je suis bien un pur frenchy qui connais cette ville lumière comme sa poche.
D'autre part, j'ai de l'argent. Mais je n'en fait pas de cas. Disons que ca me permet d'être dans mon milieu comme un poisson dans l'eau, avoir les minettes que je veux chaque soir dans mon lit. Ceci me permet tout autant de m'acheter de quoi fumer et rêver un peu plus que durant mes courtes nuit. Pourquoi je possède souvent de larges lunettes a votre avis, ce n'est pas qu'une question de style..
Outre ces petits détails, en voici encore, plus croustillant si jamais tu veux venir passer la nuit Darling. J'ai quitté l'appartement familiale. En même temps, on aurait de quoi se payer des dizaines d'appart' comme le miens. Mais bon. Je crèche donc pas loin de la Sorbonne où j'étudie l'art en option photographie. Tantot je shoot, tantot je me fait shooter. J'aime bien mon allure de BCBG sur les photos. Un poil mannequin et narcissique je vous l'avoue. Sinon, je passe le reste de mon temps de travail dans une maison de disque afin de me faire mon propre pécule en plus de ce que mes chers parents me donnent régulièrement.

LEROY CASSANDRE
Ils sont allés pendant très longtemps à la même école. Dans la même classe durant plusieurs années, ils se sont superbement ignorés jusqu’au lycée. C’est là qu’ils se sont retrouvés après une séparation due au collège, où ils suivirent des scolarités différentes. Antoine s’est souvenu de cette fille, cette princesse qui dirigeait les filles à l’époque de la cour d’école, il s’est également rappelé du mépris qu’il lui portait déjà à cette époque. Il n’avait jamais apprécié ce genre de personnes ( cf caractère). Cassie quant à elle,n’avait pas oublié ce joli garçon si distant et renfermé, un marginal dans leur société de bonnes manières, elle ne l’avait jamais approché et elle ne comptait pas changer ses habitudes. Néanmoins, obligés à travailler ensemble sur un travail commun, elle apprit un peu plus sur Antoine qu’il ne voulut lui révéler, et de son côté, lui apprit que la demoiselle était loin d’être bête et manipulable. (Précision, Antoine a un QI très important mais encore une fois il ne le montre pas plus que ça). Ils s’entendirent bien, malgré le fait qu’ils soient restés campés sur leurs positions, fierté obligeait. Il lui lança tout de même un défi : passer une soirée loin de ses mondanités : pas de champagne, pas de vêtements ostentatoires, une soirée comme une personne normale. Défi qu’elle accepta la tête baissée. Depuis cette fameuse soirée, ils sont devenus de très bons amis, voir même meilleurs amis. Néanmoins aucun des deux ne veut prononcer ses funestes mots qui les enchaîneraient l’un à l’autre. Ils répugnent mutuellement le mode de vie de l’autre et ils sont incapables de lâcher cette amitié (qui s’est construite en 3 ans et s’est consolidée en 2 ans, cela fait 5 ans qu’ils sont amis) étrange. On n’oublie pas l’attraction mutuelle (vu leur apparence, difficile de ne pas y être sensible) qu’ils ressentent physiquement l’un pour l’autre mais dont aucun ne pense l’étancher de peur de tout perdre ou même que l’autre s’y refuse.

S. Vince Hastings
Amis de longue date, Antoine et Vince sont des cas particuliers. Ou plutôt partagent une amitié bien loufoque. Leurs caractères sont si proches que l’on pourrait les croire jumeaux, ce qui les rapproche les éloigne aussi. Ils jouent parfois des poings parce qu’ils sont cons, ce sont des hommes et le violent besoin de lâcher la pression est presque incontrôlable, cela est accrut par leurs souffrances mutuelles qu’ils refusent d’assumer mais qui, respectivement, apparaît très clairement à l’autre. Ils se comprennent la plupart du temps et se rejettent parfois, mais ces vas et viens font partie intégrale de leur quotidien, et sans cela, leur relation manquerait de piquant.

Petite Marie, qui n'a pas toute ses dents, mais tout de même 18ans. Quoi ? Non j'ai pas une dentition dégueulasse triple buse, j'ai juste pas de dents de sagesse qui pointe le bout de son nez. Mouahahah ! Ici ou ailleurs, peut être que Pix`H3ll vous parlera plus que mon joli prénom ultra commun.
J'ai connu le forum via Cassandre Leroy,je me suis plains de m'ennuyer niveau RPG, et Paf ! Ce beau mal ténébreux et rebelle dans mes pattes ! Et puis, j'aime le design, malgré mon réseau en carton de la semaine \\\\\"hot spot\\\\\", je ne rame pas. Donc tout va bien dans le meilleur des mondes ! J'espère réellement m'amuser ici avec ce petit démon. Oh, comme lui, comme pour moi, la vie parisienne ? Quelle galère !

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PODCAST

Qui suis-je ?

Je suis l’ombre des soirées de la jeunesse dorée de Paname. Je passe, je bois, je fume et je trépasse avec la première chienne qui se jette à mon cou. Voilà ce que je fais de mes soirées et nuits. Mais je ne suis pas que ça, venez par ici, tendez l’oreille, écoutez moi bien.

Mai 1987

Un nouveau né parmi tant d’autres dans le XVIème arrondissement de Paris. Oui, le quartier des richoux, des bobos, enfin bref, la crème de la crème Parisienne voir même de France. Mes parents venez enfin de mettre au monde leur héritiez. L’héritiez d’une famille descendante de riches barons d’une époque qui m’est toujours inconnue aujourd’hui. Mais je m’en fou royalement de tout ceci.

Août 1993

J’ai six ans. You-pi. A partir de ce jour, j’acquis enfin la conscience. De ce fait, a partir de ce jour, je me souviens de tout ce qui ce passera dans ma pauvre vie. En ce mois ensoleillé d’août, je suis toujours à Paris. En fait, je pense que je ne l’ai jamais quitté. Je n’ai même jamais voyagé, ayant toujours était gardé par la bonne lorsque mes parents partaient en voyage. Vacances ou affaire. Je n’ai quasiment jamais quitté les quatre murs de ce bloque énorme d’appartement supra luxueux qui me donnerait la gerbe avec ces gravures, ces coulures et ces sculptures très rococo. Même si il faut l’avouer les années 90 sont marquées par un style très..Laid, affreux même ! Jeans bizarres, pulls tricotés par les grand ma’, caleçons moulants, couleurs ultra rétro, on peut même se référencer au magnifique survêtement Adidas.. M’enfin. Pour ma part, j’étais déjà aux uniforme pour aller dans ma petite maternelle privée..

Septembre 1998

J’entre au collège. Un privé encore une fois parce que soit disant, c’est mieux fréquenter et puis bon, a croire que mes parents apprécient de dépenser pour moi. Je ne quitte donc pas mon uniforme. Je me retrouvais dans un milieu mixte ou les filles jouaient aux princesses et faisaient des clans se battants pour être dans celui de la plus belle, de la plus riche. Que c’est pathétique. Pour ma part, j’étais déjà BG. Le seul souci c’est que je me sentais muer. La honte. Tantôt la voix d’un coupé, tantôt une voix roc à faire fuir. Mais bon, qu’en avais je a faire. Je préférer être seul et me hâter a grandir. Cet âge intermédiaire qu’est l’adolescence me tuait. J’étais déjà assez mure et débrouillard pour mon âge, n’ayant que rarement maman ou papa pour me torcher le cul. Et puis je suis intelligent sans même trop en faire. Je vais tout arracher durant ces 4 années. Je vais m’en sortir haut la main, et avec les félicitations. Les gens m’importent peu. Je ne vais vivre que pour moi. Je veux quitter cet endroit.

Février 2003

Je suis déjà depuis quelque temps de ce nouvel établissement, toujours privé, mais déjà plus fun, les gens sont plus mures et les filles beaucoup mieux formée.. Oulala ! Oh la mode évolue aussi, on retourne vers les 60’s là. Personnellement ca me va. Je me transforme en une sorte de BCBG rock. Je découvre aussi l’élixir du plaisir. Je commence ma folle farandole de conquêtes. J’en reste tout de même discret. Oui je suis tellement solitaire que je me fais tout aussi réservé. Mais bon, je n’ai pas des masses d’effort a faire avant d’avoir un troupeau de chattes en chaleurs a mes pieds qui attendent tour a tour de « se tape Antoine » mais ce qu’elle ne savent pas, c’est que je reste maitre du jeu. Dans ce milieu ou l’argent et roi, je règne avec une certaine facilité. Mon intelligence, me rend si sadique, si manipulateur.. Mouahahah ! J’aime donc jouer et faire payer ce qu’il faut aux petites garces pourris gâtées.. Je vous expliquerai. Hum ! En attendant, même si je découvre beaucoup de choses plus intéressantes les unes que les autres, j’excelle sur le plan scolaire jusqu’à un certain Bac général en session Littéraire. Et je suis la preuve vivante que les ragots sur les mecs littéraires ne sont pas gais. Loin de là.. Tu fais quoi ce soir Darling ?

Juillet 2005

Today ?

Je suis étudiant a la Sorbonne depuis déjà pas mal d'années et je vise une licence en art. Je vis toujours de musique, d'ailleurs, je me suis trouvais un job pour occuper mes journées dans une maison de disque. Et puis l'argent que je m'y fait c'est toujours un petit plus non négligeable qui me permet d'acheter plus de bouteille en une soirée ! Mouarf. Je fume toujours illicitement. Quoi ? C'est mon unique échappatoire a cette vie merdique. Une vie ou je n'ai aucun but étant donné que je suis né avec des couilles en or, j'ai même pas besoin de travailler pour survivre. Je n'ai qu'une chose a faire, sortir me droguer, boire de l'alcool et sauter tout ce qui bouge. Il faut avouer que parfois j'en ai marre de cette routine, de ce fait, il m'arrive parfois de pimenter mes soirées de mauvaises blagues et de me privée de me dégorger le poireau. Comment ? Au par exemple poser de vilain lapin en public ou laisser une demoiselle attachée a un radiateur tout un week-end. Et encore, elle eut de la chance que j'avais une bonne polonaise pour la sortir de là. Tss. Je hais la médiocrité des filles de nos jours, elles sont bien trop connes et superficielles. Mais bon, je ne me lasse pas de jouer avec. C'est peut être la seule chose qui m'amuse encore..