BITCH: beauté irrésistible (se) tatant (à) chaque humeur. ENDED

ROY-HASTINGS CHARLENE feat. annalynne mccord

ROY-HASTINGS CHARLENE • Deux noms, un père et une mère, deux familles rassemblées. Charlène, âgée de vingt-deux ainsi que son frère jumeau font partis des nombreux enfants qui partagent la vie avec le fils de leur père. Ils ont toujours vécu en France, Paris est leur ville natale et sans doute future. La vie en revanche a dérivé le point de vue de Charlène envers la ville, cet endroit libre, source de bonheur, cette vie festive et heureuse, tout a été brisé par la mort d'un être cher, cet univers troublé de la drogue a tué son petit-ami et l'a rendue aussi triste que demeurée. Elle est seule désormais, accompagnée du monde nocturne. Une toute autre facette de la grande ville. Elle semble mettre de côté ses études dans la mode, espérant étudier en parapsychologie après avoir mis ses problèmes de côté, qui sait ? Elle est bien plus intelligente qu'on ne le croit.

Bonjour, bonsoir, je m'appelle Léonie ! J'ai seize ans, dix-sept le 20 août (aah vivement l'été mes amis) j'aime tout particulièrement les forums rpg et j'ai craqué pour celui-ci et le personnage que je joue, scénario avec Annalynne Mccord ♥. Le code du règlement est, vie parisienne ?, quel galère ! J'espère que oui et que le forum vivra longtemps !

THE LIFE.

PARTY, PARTY...

Gouttes de sueur glissant suavement, respectant avec grâce la forme mince et harmonieuse de mon dos. Je frissonnai. Mon corps avait chaud, bouillonnant d'excitation, tel le chemin grimpant vers l'orgasme, cette chaleur soudaine qui donne le tournis tant vous chauffez. Magique, le corps humain est une véritable merveille, il parvint de manière indépendante à prendre soin de soi. Il se réchauffe avec ce qu'il peut lorsqu'il gèle, nous pousse à nous couvrir avec une chose, il se rafraichit lorsqu'il bouillonne. Ces gouttes qui coulent, mon corps se refroidit, il me brûle. Cette souffrance qui me hante, ce choc de température me fait perdre l'équilibre, je ne perçois que vaguement tous ces mouvements furtifs dans l'obscurité nocturne de Paris. Les sourires sur les visages. Des gars qui draguent une fille. Un sourire satisfait d'un drogué après une dose d'héro. Celui d'une fille qui sort pour la première fois. Ou celui d'une fille ratée, en l'occurrence, le mien. Je savais parfaitement que je n'aurais pas du y toucher, mais je tremblais, j'en avais envie et personne n'était là pour m'en empêcher. Cette dose. Elle avait été et était le seul moyen qui me rapprochait de lui qui était parti. La tranquillité, je la cherchais depuis tant de temps. Je me sentais tellement seule, mais aussi tellement habitée. Troublée, frustrée, emprisonnée, libérée. Que de contradictions, que d'hésitations, que de souffrances que de ne pas savoir tout en sachant. Mais je n'entends plus rien, je ne vois plus rien, non. Je ne vois ni entend que ce que je suis capable de percevoir, que ce que je cherche à voir inconsciemment, seulement je ne le sais pas. Mon futur, celui de devenir le plus grand visage dans le domaine de la mode ou bien... exercer mon savoir pour le moment inconnu en parapsychologie ? Mon uniforme de petite serveuse parisienne, celui de ratée à la recherche de sa drogue. Une overdose. Mon bras porte mon corps las, frêle. Fatigué de ces soirs, de ces petites prises de drogues un peu trop fréquentes, ces shows et ces regards masculins posés sur elle, sa souffrance, son instabilité. Glissant contre ce mur, des habitués me bousculent brutalement, la foule est active, bruyante et encombrante. Je tombe, sans me relever. Peut-être un jour y arriverais-je ? Je ne sais pas car je baigne dans l'ignorance, ignorante que je suis, moi qui me permets d'oser dédaigner les autres, moi qui me permets d'observer d'un air hypocrite la couple heureux qui baigne dans des sourires. Envieuse. Mon regard ose se poser et juger derrière des regards modifiés , ainsi que eux, dépourvus d'inquiétude à mon égard car je souris, eux qui me croient bonne et sincère alors qu'ils s'en prennent plein la tronche, eux qui sont si heureux et qui ne le méritent pas. Ce regard et ce geste de sincère amitié absolument faux. Je sais. Oui, je sais que je les envie pour leur bonheur et leur insouciance quant au malheur et la mélancolie, la souffrance d'un souvenir ancré dans un coeur blanc, vide, neutre d'amour et de confiance après son départ si soudain. Il n'y avait que lui, le coeur accrochant l'intégralité des pétales d'une rose, le centre de la Terre... il me l'a pris, s'est envolé, loin là où je ne pouvais plus m'accrocher.

DREAM BABY DREAM...

Une vague de rêves. Une vague si rapide mais si intense, la magie de l'eau et de ses merveilles, ses gestes gracieux et brutaux, sa douceur maternelle et sa franchise envoûte avait couvert mes douces épaules endormies, se mouvant à chacune de mes respirations profondes et endormies. Du sable chaud qui couvrait le sol de ma chambre, on pouvait y voir une jeune femme, heureuse peut-être bien mais paisible, paisible oui. Calme. Aimante. Aimée. Une jeune femme sage, se reposant comme toutes les nuits de ses journées pleines en aventures, en rebondissements sentimentaux, quelques maladresses ordinaires. La vie d'une jeune femme en apprentissage de la vie adulte. Oui, on y verra ce genre de jeune femme. Seulement, lorsqu'on s'approche un peu plus près et que l'on parvint à percevoir, entendre le doux murmure de sa respiration lente d'un sommeil profond, on commence à voir, à sentir le mal-être. Des battements de coeur irréguliers, preuve d'un événement perturbateur, perceur d'un coeur jeune et innocent, naïf peut-être bien caché, brisant le corps et l'esprit d'une telle jeune femme, qui autrefois ne cherchant que la vie, découvrir tous les secrets, les mésaventures. On ne perçoit pas encore la symbolisation de tous ces rêves qui parviennent à hanter une pauvre jeune femme au coeur brisée comme celle-ci, comme je le suis... sans doute. On ne perçoit pas toutes ces images furtives qui se posent face à mon regard, mes yeux entièrement clos. On ne comprend pas pourquoi ces sourcils se froncent rapidement et que des gouttes de sueur lovent le drap du matelas. Le stress, la panique, la peur et le haine. L'amour y est pour quelque chose. Car lorsque notre conscient ne parvint pas à s'accepter soi-même et accepter la dure réalité qui l'inonde, notre subconscient ainsi que ces vagues nombreuses, humides de rêves viennent le noyer par centaines. Quand, un coup de foudre, un véritable éclair vint se briser contre mon corps froid et endormi. La chaleur me revient au visage, ce visage humide par l'angoisse. Respiration haletante. Je ne comprends pas pourquoi j'ai mal à la poitrine, j'essaie d'arrêter de fumer, j'ai pas fumé grand chose la nuit dernière.
Les rêves sont finis. Je sais qu'ils reviendront mais je ne préfère pas les laisser embarquer mon conscient, je crois avoir encore toute ma tête. Il est dix heures du matin. J'ai pas dormi beaucoup, je suis rentrée tard, quoique... trois heures ça va. « De l'eau... » Je filai à courant dans la salle d'eau où j'y passais un coup, faisant couler gracieusement les traits noirs qui m'avaient illuminé le regard quelques heures auparavant. « Et merde. » Personne ne serait levé à cette heure là où alors la maison serait vide. Encore si Christophe voyait l'état de mon visage, il n'y portait qu'une vague attention, ce que je redoutais le plus c'était Vince. Tellement... embêtant et intriguant. Je sortis de la pièce pour prendre un verre de jus d'orange. « Charlène, tu as passé une bonne soirée ? » Son ton faussement naturel me contracta le corps, chacun de ses mots semblaient cacher une pointe d'ironie particulière, comme s'il jouissait de mon... mal-être, cette frustration omniprésente qui vivait en moi. Je préférais l'ignorer même si je l'aurais envoyé chier faiblement, je changeais bordel, personne ne voyait rien ? Découragée en avance, j'étais découragée à l'avance. Mais non. Je changeais. Je voulais changer et je changerais, un jour... j'arriverais à m'éloigner de lui, couper le cordon qui nous liait. Et vivre enfin normalement, sainement. Seulement, en étais-je vraiment capable ? « Je ne suis pas rentrée tard. » Mes pas sonnèrent jusqu'à ma chambre.

ANNALYNNE
Bienvenue et merci de ton inscription (:
Annalynne t'est réservée pour une semaine, bonne cotninuation pour ta fiche

bienvenue et bonne continuation pour ta fiche (:

ANNALYNNE !
Ca fait bizarre, je la prends tout le temps. (:
Welcome.

bienvenue et bonne continuation :)

Derien. (:
Et oui, les vava de Shiya ils tuent tout.

Han Bienvenue

Annalyne

ANNALYNNE, L'UN DE MES PREMIERS AMOURS DU RP (a) .
Bienvenue, et pis garde-moi un lien aussi .