Le luxe, le sexe, la beauté sont des illusions. Faisons tomber les miroirs. (TERMINEE)

LEROY CASSANDRE feat. Megan Fox

LEROY BELLE ARTEMIS CASSANDRE • Née avec une cuillère en or dans la bouche d’une grande famille, Cassandre Artémis Belle Leroy, plus connue sous le surnom de Cassie est la fille d’un grand banquier français et d’une princesse russe. Drôle de mélange auquel on ajoute ça et là des origines oubliées de parents peu fréquentables qui se sont mélangés à d’autres familles beaucoup moins nobles. Le 4 Décembre de l’année 1987, la jeune femme a vu le jour, depuis 23 printemps la suivent. Etudiante en licence de commerce international, son sport préféré doit être le lèche vitrine accompagné évidemment de la courte tenue de tennis qu’elle enfile depuis son plus jeune âge. Croqueuse d’hommes elle n’hésite pas à ce servir de ces atouts même si elle préfère largement utiliser son intellect. Blasée de son physique trop avenant, la jeune femme se consacre beaucoup à augmenter son capital culturel, autrement dit, sa culture, histoire d’éviter le « trop bonne, trop conne » dans le sens sexuel évidemment. Passionné de danse, elle suit en parallèle des cours de danse moderne et d’hip hop car elle se voit mal enfiler un tutu et jouer aux ballerines même si sa mère l’a déjà forcée par le passé. Froide et sociable, Cassie évolue dans un précoce équilibre où elle doit privilégier les apparences, il n’est guère nécessaire d’ajouter qu’il est difficile de distinguer où est la barrière entre le mensonge et le réel, constamment cachée derrière un masque, rares sont ceux qui se vantent de bien la connaître.

PODCAST

Grandioses, majestueux et arrogants. Leur regard coula sur les silhouettes dessinées avec précision par l’amalgame de leurs somptueuses robes, qui virevoltaient à chacun de leurs pas formant du tout une aquarelle de couleur. La famille Leroy s’esquissait avec une arrogance à glacer le sang de n’importe quel esprit faible de la pièce, les somptueux convives paraissaient à leurs côtés démodés, exempt de toute grâce et manières. Leur regard froid et distant balayait l’assemblée qui frissonnait au moindre de leurs actes. Le cortège prédominé par l’âge, de la soi disante sagesse, en tête de file se contredisait aigrement avec les traits réguliers de la jeunesse, qui semblait respirer la vie et incarnait la modèle à suivre. Ils ne manquaient ni d’adresse, ni de beauté, tous majestueusement vêtus sous le nom des plus grand couturiers parisiens. Cassie se délecta pendant un éphémère instant, de la l’envie brûlante qui consumait les regards qu’elle croisait, le tremblement nerveux des jeunes hommes à son passage, avait le don de lui arracher un sourire tentateur tandis qu’elle se plaisait à détruire à son passage tout semblant de beauté féminin des convives. Elle était belle, elle le savait et elle s’en moquait. La vilaine jalousie de la convoitise s’égarait avant même qu’elle ne la blesse, trop de temps s’était écoulé pour que ces bassesses l’atteignent encore, petite et peu consciente des atouts qu’elle possédait, la brunette bien trop naïve laissait que les abysses de ses sentiments soient secoués par autrui. Elle a su y remédier avec le temps, comprenant trop bien sa différence, elle l’a utilisé en sa faveur comme miroir des atrocités, restant intacte devant les fourbes sentiments humains. Le déjeuner « familial » débuta avec une atroce banalité, il n’y avait rien de moins convivial dans cet onéreux repas hebdomadaire, la jeune femme s’en était lentement lassée avec le temps, il n’y avait qu’une chose qui réussissait à la captiver encore : Balthazar. Son précieux cousin avec qui elle a tout partagé et n’a jamais eu à faire affront à ses barrières naturelles, majestueux invité il a pu goûter à ses toutes premières fois, lui dérobant son premier baiser ou encore sa virginité. L’inceste était bien connu et pourtant, superbement ignoré par les deux protagonistes qui évoluaient dans des voluptés intangibles pour le restant des humains, ils se plaisent à s’égarer dans les bras l’un de l’autre, que pour sexe en tout bien et tout honneur, car l’amour était une ballade qui n’était pas incluse dans leur habitus. On les pensait proches mais pas autant, tel un chat et une souris ils se chamaillent encore comme des enfants de plus bas âge, dérobant à l’autre le plaisir de s’écraser mutuellement, ils ne sont jamais à courts de mots sans toutefois, en avoir un qui a le dessus sur l’autre. Balthazar n’appartenait à qu’une infime partie de la vie de Cassandre. Il ne pouvait s’immiscer dans l’étroite communauté féminine à laquelle appartenait la jolie brune. Depuis son enfance, entourée d’enfants comme elle, de filles toutes jolies ou presque – car l’argent n’achète la beauté – Cassandre a su y trouver aisément sa place. Entourées de jolies choses, ses enfants ne tardèrent pas à devenir exigeantes, elles voulaient, elles l’obtenaient, après tout l’american express devait bien servir parfois. Sacs, bijoux jouets, barbies, maquillage inutile mais pourtant exigé par les bambines par encore adolescentes. C’est ainsi que grandit la cadette Leroy, son caractère bien trempé la hissa jusqu’aux places de meneuses, ajoutant à cela sa jolie bouille, elle devînt maîtresse par excellence, celle que l’on enviait, on souhaitait ardemment lui ressembler et pourtant sa perfection presque blessante lui causaient autant de disgracieux sentiments que de sympathiques égards. Sa place de gouvernante dès son jeune âge, la mûrit plus rapidement que les autres, elle devait obligatoirement avoir une avance sur les autres, être responsable, mais aussi la plus jolie, la plus convoitée. L’argent mis à sa disposition fut dilapidé en accessoires divers, mais rapidement Cassie trouva ses objets fétiches, sa garde robe est imposante, mais ridiculement dépassée face à la maroquinerie et l’art de la chaussure. Evoluant parmi le temps dans les écoles les plus prestigieuses, les quartiers les plus nobles et les appartements les plus beaux, Cassandre est devenue ce que l’on pourrait appeler de femme fatale. Ses atouts font d’elle, un être plus que désirable, elle connu des joies exaltées, des plaisirs nocifs, goûtant à la vie à pleine dents sans jamais se priver de rien. Néanmoins, son rang et sa famille attendent d’elle plus que de la tenue, un nom et une réputation à tenir, c’est ainsi que pouvoir jouir encore un peu du superflu de ses parents qui semblait infini, la jeune femme se conforma aux règles strictes de la société qui l’entoura et ce fut sans difficulté qu’elle trouva sa voix. Enfermée dans sa cage en diamant, la jeune femme est d’une froideur latente contrastée par l’adresse de ses courbes qui ne laissent personne éternellement insatiable de sa chair. Cassie attire les hommes comme des insectes s’écrasant pitoyablement contre la lampe, recherchant juste quelques minutes de plaisir intense au haut tribut d’y perdre leur cœur et leur identité car ils ne sont qu’un parmi tant d’autres. Abhorrée et adorée par les autres de la gente féminine, Cassie se sent dans les prémices de son âme, fatalement seule. Une solitude qui se ternit par l’achat matériel, un mal compensé par un autre beaucoup moins douloureux. Paris est sa ville préférée, sa ville à elle, car personne ne connaît mieux ces rues bondées d’une activité incessante, qu’elle. Paris un jour, Paris toujours, la princesse de glace est bien prête à évoluer dans ce monde de débauche et perdition, en espérant ne pas trop y perdre ses ailes car elle a bien l’intention de savourer chaque instant de sa jeunesse périssable.

J’ai pour habitude de m’annoncer comme Luso. Mon âge est suffisant pour boire, ou finir en prison (charmant non ? regrets de l’insouciance de mineurs …). Je me suis égarée sur bazzart et après avoir flashé sur le contexte, je me suis dégotée un personnage canon du quel j’avoue être totalement tombée gaga malgré l’absence de la fibre homosexuelle en mon sein. Je n’ai absolument rien à redire, que voulez-vous, la perfection ne doit pas être contestée même s’il est doit en être flattée : alors bravos les admins chous pour ce merveilleux petit royaume que vous nous offrez. Ha ! juste une suggestion vous ne voulez pas enlever le \\\"dernière édition machin\\\" ça fait caca x_x. J’ai bien lu le contexte et il me semble que le code est : la vie parisienne ? qu’elle galère. On ne pourrait pas en dire plus, sous les charmes inextricables de cette magnifique capitale, la vie y est stressée, vivement les vacances.

OH MEGAN
Bienvenue et merci de ton inscription (:
Megan t'est réservée pour une semaine, bonne continuation pour ta fiche

Tout est parfait, tu es validée (:
Bon jeu

bienvenue (:

FOX .
Bienvenue et merci de ton inscription.