AUBREE ♥ breathe me in, then breathe me out.

Invité

DANFORTH-LAKEHURST, bryan aubree. feat. leighton meester ♥

DANFORTH-LAKEHURST, bryan aubree • Mon nom est long, et j'en ai bien conscience, chaque prénom et chaque nom que j'ai représente quelqu'un dans ma famille, et bien que celle-ci n'ait pas toujours été parfaite et à la hauteur des attentes de la petite fille que j'ai autrefois été, je l'aime, et je ne pourrais m'en passer. Mes parents m'ont conçu en novembre 1985 et je suis née en juillet 1986, le 19, pour être exacte. Et puis comme mes parents sont très imaginatifs, je suis née au Texas, à Austin. Ensuite, mes parents ont déménagé ici, parce qu'ils trouvaient que c'était mieux que les États-Unis, du point de vue de ma mère... Je n'vois pas en quoi la France est mieux, sérieusement. Bref, en grandissant j'ai découvert que j'étais hétérosexuelle, les garçons m'excitent bien trop pour que je porte une quelconque attention à mon propre sexe... Mes parents sont riches, du coup je n'ai pas eu à payer grand-chose dans ma vie, mais ça n'empêche pas le fait que j'aie travaillé pour accomplir tout ce que j'ai accompli aujourd'hui, sauf que tout est différent maintenant... Depuis que j'ai eu ma petite Gaby, la prunelle de mes yeux. Je ne suis plus aussi riche qu'avant, mes parents m'ont renié quand je suis tombée enceinte parce que c'était hors mariage... Et puis j'ai changé, j'ai appris à être entièrement responsable de moi et de mon enfant. J'envoie son père en Enfer chaque fois que l'occasion se présente, et je vis ma vie avec mon petit-ami. Je travaille en tant que photographe dans une agence qui prend son envol, parce que j'ai au moins réussi à terminer mes études. Ce qui en étonne plus d'un, justement, parce que j'ai l'air de la petite fille porurie gâtée par ses parents, et pourtant c'est faux. J'aime faire croire aux gens que je suis une personne que je ne suis pas, pour que quand ils remarquent qu'ils ont tord, ils me fassent des excuses. C'est salace, mais c'est moi.

PODCAST
Je n’ai jamais rien demandé à personne, et certainement pas à lui. Ce connard qui m’a largué lorsque je lui ai avoué que j’étais enceinte, il y a deux ans. Je n’ai jamais dépendu de quelqu’un pour me débrouiller, parce qu’en grandissant, j’ai appris à être mature et à prendre soin de moi dans n’importe quelle situation qui se présentait. Ça n’a pas toujours été le cas, mais j’ai majoritairement réussi à m’en sortir. J’ai un enfant, et mon enfant a besoin de moi… Tout le monde dit la même chose; « Quand on devient parent, on doit arrêter de se préoccuper que de soi, et réaliser qu’on a quelqu’un d’autre à prendre en charge. Quelqu’un qui va avoir besoin de nous tout au long de sa vie. » C’est tellement vrai. Ma Gabrielle, mon bébé, mon ange, ma vie… Elle représente tout pour moi, et jamais je ne l’échangerais pour quelque chose de mieux, parce qu’un jeune enfant qui vous regarde dans les yeux et qui essaie de s’exprimer pour vous faire comprendre l’amour qu’il vous porte, il n’y a rien de mieux, rien du tout. Malheureusement, Gaby n’a pas pu avoir de père pendant presque deux ans. Son père, Oliver Phipps, n’a jamais été présent ne serait-ce qu’une fois pour elle, et n’a jamais daigné montrer de signe d’affection envers moi après m’avoir promis qu’il ne me quitterait jamais quoi qu’il arrive, et l’avoir fait quand même sous prétexte qu’il n’était pas prêt à assumer tout ça. Je le hais, aujourd’hui, et si ce n’était pas de ma fille, je serais sûrement partie à sa recherche pour le détruire, comme il m’a détruite le soir où je suis allée sonner chez lui et qu’il m’a repoussé. On était heureux ensemble, lui et moi, et il représentait beaucoup. J’avais même tourné le dos à certaines de mes amies les plus proches à cause de lui. Parce que j’étais aveuglée par tout ce qu’il m’offrait et que je ne voyais pas clair dans son jeu. Il m’a manipulé et s’est bien passé de moi quand il n’a plus eu besoin de mes « services ». « Je t’aime, tu sais ? » Carter, mon petit-ami actuel. Je l’aime, vraiment. Mais il y a une partie de moi qui me dit que je ne devrais pas me fier aux choses trop bien que la vie m’apporte. Carter a des défauts, comme tout le monde, sauf que la plupart du temps je ne les vois pas, parce qu’il les cache ou parce qu’il ne veut tout simplement pas s’ouvrir à moi ? C’est une question que je me pose depuis longtemps et qui reste sans réponse. Je ne sais pas quoi lui dire pour le faire comprendre qu’il peut agir comme il agit avec tout le monde avec moi, parce que je n’aime pas vraiment le fait qu’il me mette sur un piédestal et qu’il soit toujours au petit soin avec moi. Je ne sais pas ce que ça cache, et puis peut-être que dans le fond c’est moi qui suis paranoïaque. « Je t’aime aussi, mon cœur. » Je lui souris et l’embrasse, tendrement. Ça fait quelques mois qu’on est ensemble, et je ne regrette pas de lui avoir fait confiance et de l’avoir laissé entrer dans ma vie. Ce qui m’a directement fait craquer chez lui, c’est que ma fille ne l’a pas repoussé, au contraire. Il m’a dit qu’il en était tombé amoureux dès qu’il avait posé son regard sur elle, et qu’est-ce qu’une femme qui rencontre un homme qui aime son enfant dont il n’est pas le père ne ferait pas pour garder cet homme en question dans sa vie ?

Carter sait tout, tout à propos de tout ce qui m’est arrivé ces deux dernières années. Tout ce qui s’est passé avec Oliver, et il le hait pour ça. Malheureusement pour moi, Oliver est de retour en ville. Il me l’a bien fait comprendre la semaine dernière lorsque je promenais Gabrielle dans le parc près de chez moi. Je ne sais pas comment expliquer à Carter que le retour d’Oliver ne changera rien dans nos vies, et qu’on continuera d’être une famille malgré tout. Carter m’a déjà dit, et je cite « Je le détruirai s’il t’approche. » Et je ne tiens pas spécialement à le voir faire ça. Malgré le fait que je haïsse Oliver, je suis prise entre Carter et lui parce que je ne sais pas ce que je dois faire. « Rien de nouveau à me raconter ? » Carter a l’air sérieux, comme s’il savait que je lui cachais quelque chose. « Non, pas grand-chose. Lana va venir garder Gaby cette aprèm… J’ai pensé qu’on pourrait sortir tous les deux, qu’est-ce que t’en dis ? » Il sourit et m’enlace. « J’en dis que c’est parfait. » J’espère seulement ne pas tomber sur Oliver, parce que je ne saurais pas quoi faire, et je ne veux pas commencer à mentir à Carter, même si c’est déjà fait. Je veux lui dire, je veux qu’il sache où j’en suis, mais je ne le sais pas moi-même. J’aime Carter, c’est certain. Ce que je ne sais pas c’est si j’aime encore Oliver, malgré tout. Je ne veux pas être la petite salope de service qui se sert de son petit-ami contre son ex, ou vice-versa. Je ne veux pas être une mauvaise mère envers ma fille parce que je n’arrive pas à décider quel père fera partie de sa vie. Je ne veux pas avoir à prendre tous ces choix, parce que je ne sais pas comment résoudre les problèmes qui s’y rattachent. Je ne veux rien de tout ça, et pourtant, tout ça m’arrive, et je ne peux pas le nier, ni essayer de m’enfuir par rapport à la situation. J’aurais l’air lâche, et je ne le suis pas, pas après tout ça. Je suis Bryan Aubree Danforth-Lakehurst, j’ai 23 ans, et malgré tout, j’ai l’impression que je ne sais toujours pas ce que je vais faire du reste de ma vie. Génial…

Bonyour =D Je suis Mymz, j'ai 17 ans et je viens du Canada J'ai connu le forum par Léonie - parce que je suis méga géniale *MDR* et puis ce qui m'a poussé à m'inscrire c'est le fait que je puisse enfin jouer quelqu'un que je n'ai jamais joué =D et que c'est une fille, vu que je joue souvent les mecs x) *3615 my life* rien ne doit changer, tout est bien comme c'est *___* et ehm pour la fin, le code du règlement est : vie parisienne ? quel galère !