léoctavie; terminé

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LEEROY-BURTON LÉOCTAVIE
feat. Nataniele Ribiero

LEEROY-BURTON LÉOCTAVIE • Je me suis toujours demandé, je me suis souvent remise en question, je me suis toujours posé autant poser de questions sur ce même sujet. Qui suis-je réellement ? Je me suis souvent demandé si on ne m'avait pas confondu à la naissance. Voir échangé volontairement. J'aurais pu m'appeler Léopoldine Romane Roy, mais ma chère maman avait eu un faible pour l'histoire d'une artiste au prénom de Léoctavie. Un prénom qui me promettait un drôle d'avenir. Je suis née un matin de mars pluvieux, nous étions le seize de l'an mille neuf cent quatre-vingt-neuf. Oui, j'ai vingt ans dans pas longtemps. Vous devez savoir que je n'aime pas que l'on me souhait mon anniversaire. Pourquoi ? Cela je ne vous le direz pas... Mystère et boule de gomme comme on dit par chez moi. Ma ville natal : Iraty. Je viens du Sud-Ouest de la France. Un petit village dans le Pays basque, dans un Béarn profond et verdoyant. Mon paysage favori : les crêtes des Pyrénées enneigées et tous ses villages perdus de montagne. J'ai quitté mon Pays-basque tant aimé à l'âge de douze ans pour la ville. Pas n'importe laquelle : Paris. La citadelle des Amoureux. Moi la petite montagnarde, je me suis vite adapté à cette nouvelle vie. J'effectue tous les ans, un retour dans mon village natal, pour retrouver mon père fermier... Actuellement, je suis une formation dans les métiers de la photographie et je suis serveuse à mi-temps. Côté sexualité, je suis hétérosexuel. Et messieurs, mon cœur est totalement libre...

Oh non! C'est à mon tour de me présentée?! Oui... Bon, je me prénomme sabrina, mais pas mal de personne me connaisse sous Sweet Pea - du moins, dans le graphique. J'ai dix-huit ans, bientôt dix neuf... Maman, je me fais vieille ^^ J'ai connu le forum sur Bazzart (a) et j'ai voulu m'inscrire car j'avais une idée de personnage bien français ^^ Il est vraiment merveilleux votre forum... J'aime Vie parisienne ?, quel galère !

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ÉPILOGUE

Que nous apporte la vie ? Souffrance. Douleur. Trahison. Plaisir. Infidélité. Mariage. Divorce. Naissance. Mort. Maladie. Pleure. Rire. Sexe. Fête. Abus. Travail. Sommeil. Nous avons une quantité importante d'adjectif pour d'écrire ce que la vie nous apporte. Pouvons-nous réellement vivre la vie qui nous est destinée ? Non, nous nous cachons derrière des masques. Cachant ainsi non faiblesse, nos peurs, nos doutes, nos envies, nos désirs, nos rêves... Je fais partie de ce genre de personnes. De celle qui se cache derrière un masque. Mon masque est celui de la joie de vivre, alors qu'au fond j'ai mal, je souffre... Ma vie, la voici...

« ... maman, maman. pourquoi je ne peux pas rentrer à la maison ? je veux être avec Louis... pourquoi je dois rester ici ? » je n'étais qu'une gamine de dix ans, une simple enfant qui n'avait jamais rien fait de mal. Depuis ma plus tendre enfance, je fessais des allers-retours à l'hôpital. La cause ? Une maladie que les médecins ne connaissaient pas. Personne ne savait ce que j'avais. Aucun manuel de médecine ne pouvait donner le nom exacte de cette foutue maladie. Dix ans. Dix ans que je passais toutes mes vacances scolaires à l'hôpital. Dix ans que je n'avais plus de vie. Cette maladie m'avait fait devenir asociale. Je ne voulais plus être là. Je voulais rentrer chez moi. Voir des gens. Voir mon frère. Vivre une enfance normal. Sans être constamment dans une chambre blanche. Sans vie. Je voulais des amis. Un amoureux. Un chat. Ainsi qu'un poney... « Ne t'inquiète pas ma chérie, tu vas sortir... Bientôt... » Il s'avéra que quelques mois plus tard. Vers Février 2001, je sortis de l'hôpital. Pour toujours, m'avait-on dit... Il s'avéra également que j'eus un chaton. Ferry. Ainsi qu'un poney. Malheureusement, en peluche... J'étais une petite fille heureuse. J'avais un papa. Une maman. Un frère. Un frère-jumeau, donc je ne voulais plus me séparer... Il avait passé dix ans sans moi. Moi dix ans sans lui. Comment pouvait-on faire cela à des jumeaux qui n'avaient jamais rien demandés au bon dieu. Il venait souvent me voir à l'hôpital. Malheureusement, ses visites étaient trop courtes, trop brèves. Il arrivait, je souriais, j'étais heureuse. Il repartait, il prenait avec lui tous mes sourires, ma vie, ma bonne humeur. Les infirmières avaient essayé de me mettre un compagnon dans ma chambre. J'étais encore plus morose. Je ne voulais que lui. Lui et personne d'autre. Tous les soirs, la petite fille que j'étais pleurée son triste sort. La maladie qu'on ne pouvait identifier. Sa vie dans un hôpital. Elle voulait vivre comme Sue - sa voisine- pouvoir dormir dans des draps roses, jouer avec des jolies poupées... Danser dans le salon, que sa maman lui raconte une histoire avant de s'endormir... Je passe tous les souhaits que je fessais chaque nuit... Tout cela arriva donc un matin de Février. « Voilà notre maison, ma chérie... » Je restais sans voix devant l'énorme maison qui était devant moi. J'étais si petite et elle si grande. Cette maison me fessait peur. Je ne voulais pas le dire à maman. Je ne voulais pas qu'elle me ramène là-bas. Une petite main attrapa la mienne... La sera chaleureusement, je regardais l'être qui était à côté de moi... Près de moi... Il avait les mêmes yeux que moi, le même sourire, la même chevelure - peut-être en un peu plus court - d'une voix assure et pleine de confiance il me dit alors... « Léo' tu viens. J'vais te montrer ta chambre, viens tes poupées t'attendent. Elles étaient malheureuses sans toi. N'es pas peur, je suis là » Il était bel et bien là, en chair et en os. Pas comme tous ses rêves que je fessais de lui où nous montions mains dans la main, les marches du perron. Ce n'était plus un rêve. J'avançais en même temps que lui... Nous arrivions donc dans ma chambre. Une chambre tel qu'il me l'avait décrite. Les peintures blanches et rose, le plafond avec des moulures de princesses. Une grande armoire, une coiffeuse et un magnifique lit... «C'est tout pour toi, c'est ta vraie chambre. La mienne est en face, s't'veux on pourra dormir ensemble » Je le regardai timide, il était tellement grand, tellement beau... « d'accord... » Cette nuit là, ça ne manqua pas. Je dormis avec lui, comme d'autres nuits d'ailleurs... Je mettais endormi dans son lit, dans ses bras bleus et ses petits bras. Pendant mon sommeil, je lui avais confié « Louis, t'es mon héros... Je t'aime fort, fort, fort»

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« Léo' réveille toi. Joyeux anniversaire » Je fus secouer par une main familière. Sa voix était douce et joviale. Louis. Un sourire s'afficha sur mon visage. J'ouvris les yeux avec un peu de mal. Une douleur à la tête me survenu alors. NON, je ne voulais pas y repartir. Plus jamais. Je regardais le garçon de douze ans qui était en face de moi. Il me tendait un énorme paquet rouge et vert. Mince, nous étions le quinze février. Notre anniversaire. Comment avais-je pu l'oublier. J'étais mal à l'aise, de plus la douleur s'intensifier. J'essayais de me calmer. J'avais passé toute la semaine à essayer de contrôler la douleur. Plus les jours passer et j'oubliai la date. Quelle idiote étais-je. « Louis, je n'ai pas de cadeau. J'avais tellement mal que j'ai oublié... Je suis désolé, je ne peux pas l'ouvrir » Il me regarda vexe. Son sourir était parti. Je me cachai sous la couverture. Silence. Je senti des bruis de pas. Il partait ? Non; Pourquoi ? Je sursautai en sentant un poids sur le lit, puis la couverture qui se relevé. Avec un petit sourire de la part de mon jumeau, je fus réconforté « Tu sais mon plus beau cadeau, je l'ai depuis que t'es revenue à la maison... Ouvre ton cadeau? Mais t'as vraiment mal ? Tu veux que j'appelle maman » Je secouai la tête, soulageai qu'il ne le prenne pas mal. Ce qui l'avait fait peur, c'était la douleur. J'ouvris son cadeau. Le papier vola. Je découvris avec merveille, le plus beau livre du monde. Il se rappelait de ce livre. Celui que j'avais lu et relu à l'hôpital. Hansel et Gretel. Elle avait toujours aimé cette histoire où le frère ne quittait pas la sœur... Leur vie quoi... « Louis, je t'aime... Merci d'être mon frère... » Je n'avais pas besoin des mots, il comprenait se que je ressentais, se que je voulais. Il était attentif à tout mes désirs, mes attentes. « Martin va venir à la maison. Tu viens ? » Il me tendit la main, que j'attrapai au passage. Cavalcade dans les escaliers. Une maman heureuse. Un père absent, mais aimant qui était venu de Tokyo pour l'anniversaire de leurs petits jumeaux. Martin attendait au pied de l'escalier. Martin, mon premier amoureux. Il était le meilleur ami de mon frère. Nous étions tous les trois ensembles. Lui était fils unique et adorait mon frère. Un jour, il avait demandé à mon frère. « Hé Louis, pourquoi elle est toujours avec nous ? » « Ben, j'ai peur qu'elle reparte. J'veux être avec elle tout le temps. Tu l'aime pas ou quoi ? »« Si, si mais je voulais savoir. » « J't'avertis si un jour tu lui fait du mal, je ne te le pardonnerais jamais. Ok. » « Ok. » Martin l'avait regarde et c'était toujours promit de ne jamais me faire du mal.
Nous avions grandi. Nous n'avions plus douce ans. Cinq ans c'était écoulé depuis notre anniversaire sans cadeau. Du moins, lui sans cadeau. Du coup, toutes les années qui suivirent, je lui fessais des cadeaux. Je voulais à chaque fois lui payer par mes propre moyen. J'avais donc trouvé un job, je gardais les enfants de Peter. Je promenais les six chiens de la voisine. Je nettoyais de temps en temps la voiture des parents de Martin. Qui m'aidait assez souvent, car comme je m'occupais de son petit bijou - oui, c'était sa future voiture - combien de fois, nous nous étions pris à rêver dans cette voiture. Nous parlions de notre vie futur, des choses qu'on ferait plus grands. De la famille qu'on aurait etc...

***

[justify]Le collège. Les premières amours. Les premières rumeurs. Les premiers cœurs brisées... L'adolescence quoi. L'entrée dans le monde des adultes. Martin, Louis et moi étions dans la même classe. Nous étions inséparables, comme les trois mousquetaires. Sauf que les trois mousquetaires était tous des hommes forts. Nous étions composés d'un garçon calme, d'un petit rebel et d'une fille qui avait une maladie inconnue. Bref, l'équipe des bras casses. Les changements c'étaient opères en nous. J'étais devenue une femme avec toutes les courbes qui sans suivent. Je n'appréciais pas les deux bosses qui s'étaient formés sur mon torse. Tous les garçons essayaient de les voir sauf Martin et Louis... D'ailleurs en parlant de Martin, il était de plus en plus bizarre. Cela, nous en reparlerons après. Un soir quand nous soupions, maman prit la parole « Léo, Louis. Il serait temps que vous dormiez chacun dans vos lits... Non, on ne discute pas. C'est comme ça. J'en suis désolé. » C'était comme cela à chaque fois. Le silence. Alors que nos nuits précédentes étaient animées, vivantes... Pfff, silence. Je senti mon portable vibrait sur ma table de nuit. Un message. Martin. « Dort bien p'tite sœur. Je t'aime » Je lui répondis immédiatement. Un sourire aux lèvres. Seconde vibration. Louis ? Non. Martin. Martin ? Que me voulait-il a une heure si tardive ? « Léo, c'est Martin. Désoler de déranger, voir te réveil. Mon père voulait savoir si tu venais demain pour laver la voiture. Comme prochainement, c'est votre anniversaire... Désoler. Bonne nuit. » Il était vraiment bizarre en ce moment. Je regardais mon cellulaire. Devais-je lui répondre ? Je n'aurais peut-être pas dut. « Tu ne me dérange pas. Maman nous a séparer tout les deux, don j'ai du mal à dormir. Oui, je viens demain. Louis, lui sera de sortie par contre :( » Seconde réponse « Ah désolé pour vous deux :( oui, je sais qu'il ne vient pas. Pas grave. A demain. Bisou » Depuis quand me fessait-il des bisous ? Étrange, peut-être par mesure de politesse. Bref, le lendemain fut aussi bizarre que la veille. J'arrivai chez lui, il y avait une certaines tentions venant de lui. Je ne comprenais pas vraiment se qu'il fessait. Il m'envoyait des sourires. Me parlait de gens qui s'aiment depuis toujours et qu'ils ne se le dissent pas. Il était aussi très tactile. M'avais attraper les mains plusieurs fois, m'avais trollé d'un peu trop très... Comme à l'accoutume, nous nous étions mit dans la voiture. Nous parlions, nous parlions jusqu'au moment où il n'embrassa. Non, non, je ne rigole pas... « Léoctavie, je t'aime... » Il me regarda avec un petit sourire, attendait-il un vent de ma part. Première fois qu'il m'appelait Léoctavie. « Je... heu... moi, aussi... je t'aime... » Une heure plus tard, j'étais à la maison. Je me précipita alors dans la chambre de mon frère... J'étais sur son lit, lui sur son pc portable... « t'sais quoi ? » « Martin t'as enfin dit qu'il t'aimait ! » « quoi ? comment tu sais ? » « je le sais depuis longtemps ... » « oh... » La vie avait changés, nous avions grandis. Nous nous éloignons petit à petit. Cela me fit souffrir énormément...

CHAPITRE 1

Des bruits de cloches me réveiller dans ma nuit agitée. Des bêlements, des aboiements, des cris d’ordre, des bêtes galopaient dans tous les sens... Un filet d'air frais vient me caressais les pieds qui dépasser des couettes de laines. Une odeur de pins, se mélanger à l'odeur de l'air pur. Le soleil n'était pas encore vraiment levé en cette matinée de juillet... Une chambre à l'attrait cent pour cent campagnards, il y avait une selle d'équitation dans un coin, une énorme étagère replis de livre. Des dessins accrochaient au mur crème, un bureau ou trônaient des classeurs d'étude sur l'art, une guitare était perchée sur un rocking chair - vous savez ces chaises style fermier. Une énorme boule de poil brun était confortablement installée sur le lit et une autre sur un pouf. Un chien brun dans mon lit et un chat blanc sur ma chaise, drôles d'image. Quand on sait que tous les deux se détestent. Jalousie à qui aura le premier câlin de ma part... J'émergeais lentement de ma nuit mouvementée. J'avais passé la nuit dans l'étable à aider mon père avec deux de ses juments à mettre bas. J'avais été émerveillé et heureuse d'assister à cet événement. Il ne s'agissait pas d'une seule vie, mais de deux. Nous avions donc eu l'honneur de voir naitre Amaril - jolie petite pouliche noire - et Rostre - un poulain un peu fragile, court sur patte et à la magnifique robe blanche tacheté de gris. Papa avait vu mon air émerveillé devant ce petit poulain blanc. « Léo, il est pour toi » Mon père venait de me faire le plus beau de cadeaux... J'avais quatorze ans. J'étais une jolie petite campagnarde dans mon département tant chéri. Je savais malheureusement que les vacances allaient se terminer. Que je devrais partir pour la capitale. Paris. Maman et son nouvel petit ami. Pourquoi était-elle partie de notre petit village perdu dans les montagnes Basque ? Je ne le serais surement jamais. Elle m'avait toujours dit être amoureuse de mon père, mais elle avait voulu découvrir la ville. La vraie ville. Elle ne supportait plus la campagne, les montagnes, la neige, la vie à la ferme. Moi, c'était tout le contraire. Je ne pouvais pas passer une minute en ville, sans me trouver mal. J'avais l'impression d'être sale, d'être impure... L'air des alpages me manquait tant.... Pourquoi avait-elle choisit Paris ? Alors que nous avions Biarritz, Pau, Toulouse Bordeaux dans les environs… Pourquoi ma mère était-elle si difficile ? Pourquoi avait-il fallu que je la suive ?Je n'avais pas eu tellement le choix, mon père devait s'occuper activement de notre exploitation pour que la ferme marche très bien, il ne pouvait se permettre de m'avoir dans ses pattes. Du moins, je m'étais vite rendu à l'évidence. Il m'avait acheté ; cet été là, un ordinateur portable, pour que nous pussions rester en contact tout le temps. Ma mère l'avait alors traité de fou. Je me secouai de mon lit. C'était mon dernier jour, en profité au maximum. Je partis voir Rostre et sa jolie maman, Délila. Puis je me rendis dans les salles de trait avec mon père et son employé, Roy.

***

Salut papa et la petite famille,
Cet été, je ne pourrais malheureusement pas venir à la maison. J'ai été prise dans une des meilleures écoles de photographie de France. Je vais devoir passer tout mon été à bosser dur, je vais devoir même effectuer un emploi ,car maman repart sur Lyon. Oui, oui, elle ne sait toujours pas ce qu'elle veut. Heureusement pour elle, elle a trouvé un très bon emploi là-bas. Je ne veux pas la suivre, car j'ai dégouté une très bonne bourse en travaillant dure. Tu l'as d'ailleurs bien vu. Je suis désolé, j'avais promis de passer Juillet et Août dans nos chères Pyrénées. Tu m'en excuseras auprès de tout le monde : Roy, mamie, papi, Louis et des bêtes. J'aurais voulu être là, avec vous tous. Je t’appellerais d’ici peu. Vous me manquez tous... Il faut croire qu'une fois qu'on est loin des personnes qu'on aime nous nous rendons compte de combien ils nous manque...
Bis, ta Léo qui t’aime

Je sais bien, j'avais promit à mon cher papa et à mon frère de passer l'été avec eux. Malheureusement, j'avais été prise dans la plus prestigieuse des école. Je devais travailler dur, je devais faire ma vie en solitaire... Je devais grandir seule, loin de ma famille. Je devais faire temps de choses. Il faut croire qu'une fois qu'on est loin des personnes qu'on aime notre vie est douloureuse. Actuellement, elle est très douloureuse...

Dernière édition par Léoctavie Leeroy-Burton le Mer 10 Mar - 15:11, édité 20 fois

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CHAPITRE 2

Aujourd'hui, nous sommes à l'aube de l'année 2010. Je suis retournée de temps en temps voir mon père. Entre temps, je mène une vie trépidante à Paris. Je ne m'étais jamais accroché à cette ville. Jusqu'au jour où j'ai compris que c'était ici que le second pilier de ma vie serait enlisé. J'ai vingt ans, je suis célibataire et je fais la fête tous les soirs. Je bois, mais je ne fume pas. Je m'amuse et je consomme avec modération les histoires d'un soir. Je rêve d'un prince charmant, comme chaque petite fille. Il faut croire qu'un certain monsieur m'a tapé dans l'œil. Nous avons passé une excellente soirée ensemble... Malheureusement pour lui ou pour moi, elle ne sait pas fini au lit. Cela n'était pas dans mes projets. Nous nous étions rencontrés dans la boite où j'étais stagiaire. J'avais renversé mon café sur lui. Seconde rencontre tout de plus banal, nous avions réservés la même table. Du moins le croisai-je, la dirigeante du restaurant nous avez mis ensemble par mégarde. C'est se qu'il lui avait demandé de me dire. Nous nous revoyons à plusieurs reprise. Il sait où j'effectue mon service. Du moins, il a soutirait l'information de mon colocataire et très bon ami, car appartement il connait très bien Quentin... Appartement, ils seraient des amis de beuveries ou d'enfance. Je n'ai pas trop comprit les explication de Quentin au sujet Cayden ... Il vient s'installer dans le petit café où je travail et reste assit pendant des heure à attendre que je finis de travail, pour ensuite me raccompagné chez moi. Me laissant espérait un baiser, mais il ne fait rien. Il est mon addiction. J'aimerais qu'il fasse le premier pas. Me test-il ? Il faut dire qu'en ce moment notre relation est ambiguë. Nous avons passer notre première nuit ensemble il y a un an... Puis il est parti, sans un mot, sans une explication.... Six mois après qu'il fut partit, je découvris que j'étais enceinte. Aujourd'hui, Enzo est né et voila que Cayden remet les pieds dans ma vie. Dans nos vies....

PROLOGUE

La vie est de plus en plus compliqué. J'essayais de me remettre sur pied. De ne plus pensais au passé, de faire comme si cette foutue année ne s'était pas écoulée comme si j'étais passé de dix-neuf ans à vingts ans en un seul jour. J'ai appris que Cayden est revenu. Je veux l'oublier, oublier les espoirs que nous avions ensemble. Les rêves. L'avenir... Pour éviter de penser à tout ça, j'ai pris un emploi. Je suis dans une petite agence de photographie, j'ai toujours aimé les photographies. Jamais elles ne décevront... Jamais... La vie, ce n'est pas un cadeau. On fait avec ce que l'on a et non avec ce que l'on veut... Que nous apporte la vie ? Conclusion. On souffre. On ressens de la douleur. On est trahison. On a du plaisir. On est infidélité. On fait un beau mariage. On divorce. On donne naissance. On meurt. On est souvent maladie. On pleure. On rire. On a le sexe. On fait la fête. On abuse des sentiments. On travail. Pour enfin avoir sommeil... Bonne nuit, les p'tits loups. Vous seuls avez put m'écouter...