W.T.H - « life is like shit, it stinks and it sucks. »

La naissance commence toujours par un cri et ensuite par des pleures, le premier venant de la mère puis le deuxième venant du bébé. C'est comme le phénomène des plantes, sans l'air, elles ne peuvent vivre, tout comme les bébés qui prouvent leur force lors de ces pleures. Mais pourquoi fais-je tant de lignes ce sujet ? Tout simplement car moi, à ma naissance, aucun son ne sortait, je commençais à m'étouffer et je dus rester à l'hôpital durant plusieurs jours. Les médecins avaient peur que je meurs dès ma naissance, mais j'ai survécu grâce à mon père qui travaillait dans cet hôpital et qui faisait le tout pour le tout pour sauver ma vie. C'est à mes deux semaines que je pus sortir sain et sauf, alors mes parents ont promit de toujours tout me donner puisque j'avais une mal formation du coeur. Depuis, je ne peux courrir trop longtemps ou subir des émotions trop fortes sans perdre connaissance. J'oublie toujours le nom de ma maladie, mais j'ai apprit à vivre avec. Durant mon enfance, les professeurs ne cessaient de me chouchouter à cause de ma maladie qui sortait du commun selon eux. Mais je ne me suis jamais sentit différent à vrai dire, je faisais des trucs normaux. J'ai toujours eu les meilleures notes en classe et j'avais les meilleurs talents en mathématique ainsi qu'en sciences. Je n'étais rien d'autre qu'une grosse tête durant mes premières années d'études. J'eus ma première petite amie à l'âge de 14 ans, nous sommes sortit ensemble jusqu'à ce que j'aie environ 16 ans. Puis j'ai mit fin à notre relation mais nous gardons toujours une très bonne relation malgré tout. Puis, les relations se suivirent de plus en plus jusqu'à devenir une petite amie par deux semaines. C'était excécif, je l'avoues mais je tombais si facilement amoureux et les filles m'aimaient tant. Je n'ai jamais réussit à m'attacher à une personne avant quelques mois d'aujourd'hui. Je crois être réellement tombé amoureux, aussitôt que j'ai fondé ma compagnie, je ne fus plus le même. Je ne donnais plus autant d'attention aux femmes, même que j'essayais de les repousser de moi, je n'aimais sentir leur corps près de moi, je commençais à devenir extrêmement timide. C'est toujours le cas aujourd'hui. Maintenant, ma compagnie fonctionne parfaitement. Je suis plutôt populaire à Paris et je me fais facilement des amis. Je recherche toujours ce grand amour, fréquentant de plus en plus de filles pour voir celles qui pourraient me plairent. Mais bon, je suis comme un preux chevalier, je ne peux tomber amoureux en service. J'ai bien hâte de trouver la bonne et devenir le bonhomme que je suis censé être. Monté ma famille, avoir une femme et vivre heureux. Si je ne peux vivre cette relation dans ma vie, je ne mérite pas que ma vie continue.