| | Ô venez, venez à moi, pauvre brebis;; Léopoldine. | |
| | Auteur | Message |
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| Sujet: Ô venez, venez à moi, pauvre brebis;; Léopoldine. Mar 2 Mar - 3:30 | |
| EREESE, LEOPOLDINE BERENICE feat. alexis bledelEREESE LEOPOLDINE • Anciennement Jamesleigh. Dure destin dois-je dire ? Vraiment, c’est inutile de parler de moi, de cet « avant ». Maintenant, c’est tout autre. Une autre moi, qui reste la même, indéfiniment. Mon nom à été changé pour des raisons de sécurité, dois-je dire aussi qu’il fallait absolument que je me détache de cette famille bien trop bizarre à mon goût. Bien entendu, je révèle chaque facette de cette union. Un caractère. Personne ne me comprends, je comprends chaque personne. Triste vie, qu’est la mienne, et je vous ne vous y invite. Vingt-cinq ans sont passés. Une vingtaine d’année qui n’a fait qu’accroître ce désir de vengeance puissante. Ne dit-on pas que la vie ne se passe jamais comme les séries TV ? La mienne devrait en être adapté. Sérieusement. Ne cherchez pas dans ce passé monstrueux qu’est le mien. Je ne veux offusqué les gens des crimes dont je ne suis pas l’auteur. Aidez moi, je vous en supplie car un peu plus chaque jour je meurs, je m’éteint petit à petit, laissant derrière moi des souvenirs précis. | |
Dernière édition par Léopoldine Ereese le Mar 2 Mar - 4:16, édité 3 fois |
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| Sujet: Re: Ô venez, venez à moi, pauvre brebis;; Léopoldine. Mar 2 Mar - 3:30 | |
| Pour faire court, et surtout pour ne pas non plus m’étaler sur le lieu de ma naissance et du fait, du pourquoi au comment. Je suis née le vingt-six mai milles neuf cent quatre vingt-cinq, à Penzance dans le district de Penwith, petite ville de la côte sud-ouest de l’angleterre. N’auriez vous toujours pas reconnu cette accent que je porte depuis toute petite ? Cela me suggère donc que vous n’êtes pas très futé. J’ai vécu à Londres, ensuite, jusqu’à mes cinq ans. C’est là que nous avons débarqué à Paris, pour des raisons que je ne pourrais dévoilé. En tout cas, pas pour le moment. J’aimais Penzance, petite ville portuaire, la brise marine contre mes cheveux d’enfants. Je m’y rends chaque été, encore et encore, et rien n’a changé, elle reste ma ville natale.
« Dis-moi quand ! Quand accepteras-tu de te rangeais du côté des civiles, arrête de faire ses crimes inutiles. Imagine, imagine que Léopoldine devienne comme toi, prenne exemple sur toi, je n’accepterais jamais que ma fille devienne un monstre. » Avait-elle haussé la voix pour mieux se faire comprendre. La réaction de mon père ne s’était pas fait attendre, il l’avait giflé, et petite je n’avais jamais compris pourquoi tant de mépris à l’égard de ma mère quand elle parlait de ses « activités » dont ma mère m’avait fait taire le nom. Désormais, j’ai su ce que c’était. « Ne parle plus jamais comme ça de moi, et de mes affaires, je te signal que c’est moi qui t’es tout donné, j’aurais très bien pu te laissé crépir avec ton putain de père. Je te signal, que c’est moi qui m’est chargé de cette tache difficile, et tu ne peux pas me renier comme ça. Léopoldine devra tôt ou tard savoir, et comprendre, ainsi que suivre la ligné des Jamesleigh. » Ma mère ne parlait plus, choqué par le comportement violent qu’il pouvait avoir avec elle. Ma mère, brave mère, elle a réussi après tant d’année à vivre au côté d’un monstre, d’un tueur en série et par-dessus tout ça, un cannibale narcissique. Le tissus de ma chemise de nuit blanche en coton, imprimé de ces petites fleurs que je portais gamine, je me rappelle, me démangeais affreusement. Je n’avais pas compris tout de suite, ce que voulez dire tout ça, c’est bien plus tard. Et j’ai dû m’y faire, sans grincher, sans dire quoi que ce soit, au risque de décevoir ce père dont je n’avais jamais rêvé. J’y ai été contrainte, de voir ses crimes, petite, adolescente et maintenant chaque crimes se perpétues dans ma tête comme d’horrible cauchemar, sauf que ceux-là ne sont pas tirés de séries télé, ce sont ceux de mon père, et maintenant je paye pour ses conséquences. N’avait-il donc pas une once d’humanité dans ce géniteur ? Plus tard, j’ai su, j’ai su ce qui était arrivé à ce grand-père que je n’est jamais connu. Abusif et violent, ma mère était prise au piège, comme je l’étais autrefois. Mon père l’a donc tué, tout en prétextant un suicide. « Arrêt cardiaque » m’a-t-on dit, ce n’était pas donc rien de naturel. Je n’ai pas une once de vie normal, même en arrivant à Paris, ça à été doublement pire.
Paris, c’était une autre histoire, j’ai grandis dans le onzième arrondissements, le quartier très rock n’ roll, dit-on désormais. A paris, les crimes se sont répétés, accentués, et le pire dans tout ça, c’est que j’ai été spectatrice sans jamais pouvoir faire quelques choses de sensés. On se dit que ce n’est pas de votre place, et que vous étiez petite, faux ! Je n’étais pas petite à quinze ans, et je détestais mon père. J’aurais dû aider ses gens en détresse, et leurs familles derrière. J’ai merdé, comme chaque chose que j’entreprends. Et, je recherche encore, la cause de cet échec.
« J’en ai marre, c’est fini. » Avais-je dit, tout dans un anglais parfait, une langue que je parlais en famille, et je n’avais pas perdu mon accent, cet accent que j’affectionnai. « Tout ça, je ne peux plus, on a pas le droit de faire ça, j’en ai encore moins le droit que toi. » avais-je protestée encore, je ne pouvais plus continuais ainsi, je devenais comme mon père, et ce monstre que j’étais, ce n’était pas moi. Ce n’était pas Léopoldine. « Ta mère l’avait dit, tôt ou tard, que tu abandonnerais, elle avait raison pour une fois, elle qui prétextait, que tu étais une femme de bien, quelqu’un au grand cœur. Du blabla, ma chère fille, que du blabla, et voilà pourquoi ta mère est morte, pour du blabla, encore des paroles insensés. Fallait bien qu’elle crève. Cette chienne! Tu as gouté au sang une fois, désormais c’est pour la vie, Léopoldine, pour la vie et à tout jamais. File! Et ne recommence pas tes stupidités de gamine. » M’avait-il balancé, comme ci ça allait suffire, comme ci par des années d’obéissances acharné, j’allais cédé une nouvelle fois. « Dade, c’est fini, réellement. J’arrête. Je ne suis pas le monstre que tu es devenu, et tu ne me feras jamais devenir comme eux. Tu crois quoi ? Que j’irais plus tard, comme veut la tradition, me marié avec toi et avoir des mômes cannibale, jamais de la vie. D’une, je ne suis plus Léopoldine Jamesleigh, mais Léopoldine Ereese, je reprends le nom de maman, et de deux, ma mère n’était pas une chienne, comme tu le prétends. Pauvre con! Crève, crève et va en enfer. Enfin, au point où j’en suis, je suis sûr que l’enfer doit être bien meilleur. » Sans savoir, comment et pourquoi, je me retrouvais contre le mur, une main chaude et moite serrés mon cou. Et dans un bref élan, essayant d’articulé au maximum, je lui lança : « Vas-y tue moi, tue la progéniture! »
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Dernière édition par Léopoldine Ereese le Mar 2 Mar - 6:00, édité 4 fois |
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| Sujet: Re: Ô venez, venez à moi, pauvre brebis;; Léopoldine. Mar 2 Mar - 3:31 | |
| « Alors, que voyez vous ? Sans être méchant, je n’accroche pas du tout, désolé de dire que je n’y crois pas. » L’officier, chargé de l’enquête semblait parler, je n’y prêtais aucune attention. Combien de fois me l’avait-on dit. Magie, tour de passe passe, vaudou, sorcellerie, parfois même mythomane, tout droit sortie du film psychose. Je n’étais pas réelle, je ne faisais que manipuler. Foutaises! « Croyez-le ou non, c’est votre opinion, et ne vous inquiétez pas, on m’en a sortie tellement, je suis habituée à forces. A tout point de vue, je dirais que le meurtre est passionnel. Aucune trace d’effraction, le rouge à lèvres, voyez vous posez là-bas, encore ouvert, montre qu’elle se préparait, elle porte un parfum aux mûres, un crime passionnel avec des infidélités. Interrogez le mari, sur une quelconque tromperie, de mon côté, j’irais trouvé, l’amant. » Je souriais niaisement, j’avais en partie résolue, l’énigme, il ne restait plus qu’à découvrir, le meurtrier. « Comment avez-vous ? ». Était-il surpris ? Je pense que oui. « Vous ne relevez pas de l’extraordinaire, cher ami. » J’étais donc en quête d’un amant infidèle, un amant qui recherche à faire semblant, quoi que, j’avais quelques doutes, le fils n’aurait il pas quelque chose à avoir dans tout ça ? Un beau fils, tuerait il une belle-mère pompeuse de frics. Oh, oui. Ma prochaine direction serait donc l’appartement de la victime, passer les menottes au fils. Comportementaliste, j’étais une fidèle comportementaliste, peut être un peu mentaliste. Avec certitude, je n’étais pas médium. Autant pour moi. Je n’aimais guère les médiums. Je n’avais fait qu’un an en fac. Apparemment génie, et comportementaliste bien plus qu’experte. Je détaillais avec dextérité chaque geste et parole d’un humain. Et chaque chose, comme un petit jeu sans importance, qui maintenant est devenu inséparable. Je le fais, sans me rendre compte de quoi que ce soit. « Comment ce fait-il que vous ayez eu raison ? » me demanda l’officier, étonné que je puisse avoir raison. Quoi, n’ai-je pas le droit d’être moi. « N’en faites pas un débat, officier. Ce n’est qu’une enquête, j’ai fais des études et, je manipule si bien les personnes. J’hypnotise, et à trois, officier, vous arrêtez de m’embêter. Un, deux, trois. » Je touchais son épaule, à trois, je l’a lâchais. Ses yeux toujours dans les miens, il ne se tint pas de dire clairement ce que je lui avait demandé. « Vous savez quoi, je vais arrêter de vous embêter, vous avez autre chose à faire sûrement. » C’était un jeu d’enfant, une chose que je pratiquais de temps en temps. Et je savais, que je pouvais recommencer encore et encore, ça marcherais. Toute ses choses, ces miracles que j’accomplie ne viennent que de ce père, tant détester. Tout me venait de lui, mes cheveux, mes yeux, ma chairs. Mon sang. Parfois, je rêvais, étrangement, d’un meurtre que j’aurais commis, pour ainsi dire, que je serais devenu cannibale. Chaque détails, chaque geste, la manière d’assassiné, tout à été préparé soigneusement, avec l’empreinte de mon père, puis je me réveille. N’est-ce pas étrange ? Tout ça. De vous dire que ce comportement que vous avez toujours eu, est probablement celui de votre père, cannibale ? Et que Léopoldine Ereese n’existe que depuis quelques années ? Bien sûr j’imagine que vous ne comprenez pas, et je pense que c’est une meilleur chose.
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Dernière édition par Léopoldine Ereese le Mar 2 Mar - 15:07, édité 4 fois |
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| Sujet: Re: Ô venez, venez à moi, pauvre brebis;; Léopoldine. Mar 2 Mar - 3:31 | |
| Il ne suffit pas de connaître mon pseudo pour savoir qui se cache réellement derrière cette écran de mon précieux netbook, Toshiba. Respect moi, je dis. Pour vous servir, la fidèle Red wings, celle qui n’a pas froid aux yeux. Moi, je jure solennellement avoir trois cent ans, et deux heures. Bon au risque de vous faire peur, j’ai quinze ans dans la vie réelle et je suis parisienne dans tout ça. Mon Paris, je l’aime, hein mais la vie Parisienne, quel galère ! ( pour ceux qui ne comprenne pas le jeu de mot, c’est censé être le mot de passe. Ta vu la génie qui arrive à le mettre dans une phrase et ouai. ) Brefouille; mes chères navets, c’pas tout, hein mais faut que je fasse cette fiche, et j’compte bien la parsemés de conneries en tout genre. Ciao. Je veux mon icons de simon Baker. J'm'en fiche je l'a mets. | |
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Dernière édition par Léopoldine Ereese le Mar 2 Mar - 4:32, édité 2 fois |
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| Sujet: Re: Ô venez, venez à moi, pauvre brebis;; Léopoldine. Mar 2 Mar - 3:38 | |
| LOL bienvenue. Emma Oui tu es la troisième, mais je pense que tu n'as guerres le choix. Emma est réservée ! |
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| Sujet: Re: Ô venez, venez à moi, pauvre brebis;; Léopoldine. Mar 2 Mar - 3:43 | |
| CANDICE OU ALEXIS ET JE T'ÉPOUSE Bienvenue sinon |
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| Sujet: Re: Ô venez, venez à moi, pauvre brebis;; Léopoldine. Mar 2 Mar - 3:46 | |
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| Sujet: Re: Ô venez, venez à moi, pauvre brebis;; Léopoldine. Mar 2 Mar - 3:49 | |
| HAHA Si tu veux. Je te le laisses! Moi j'ai mon JUDE LAW qui est à moi ! Peace . |
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| Sujet: Re: Ô venez, venez à moi, pauvre brebis;; Léopoldine. Mar 2 Mar - 3:51 | |
| - Aurélie L. Lopez a écrit:
- HAHA Si tu veux. Je te le laisses! Moi j'ai mon JUDE LAW qui est à moi ! Peace .
AH, lui jte laisse, par contre fais attention, j'ai une amie qui tuerais pour J.law. ben oui dans ma ville, nos acteurs préférés faut pas toucher XD les dingues ;D Ben attends, Armand, j'ai du goût. |
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| Sujet: Re: Ô venez, venez à moi, pauvre brebis;; Léopoldine. Mar 2 Mar - 3:53 | |
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| | | | Sam Blakelee
Messages : 87 Date d'inscription : 27/02/2010 Age : 31
tout le monde veut être quelqu'un TON PLUS GRAND PÊCHÉ: pas de vos affaires (aa) TON ENTOURAGE: TA CHANSON FÉTICHE: blah blah blah (feat. 3OH!3) - ke$ha
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| | | | Payten Barnes PAY ♣ Construire un empire pour ton sourire.
Messages : 511 Date d'inscription : 27/02/2010
tout le monde veut être quelqu'un TON PLUS GRAND PÊCHÉ: l'alcool.. TON ENTOURAGE: TA CHANSON FÉTICHE: before the worst, THE SCRIPTS
| | | | Invité Invité
| Sujet: Re: Ô venez, venez à moi, pauvre brebis;; Léopoldine. Mar 2 Mar - 3:59 | |
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| | | Payten Barnes PAY ♣ Construire un empire pour ton sourire.
Messages : 511 Date d'inscription : 27/02/2010
tout le monde veut être quelqu'un TON PLUS GRAND PÊCHÉ: l'alcool.. TON ENTOURAGE: TA CHANSON FÉTICHE: before the worst, THE SCRIPTS
| Sujet: Re: Ô venez, venez à moi, pauvre brebis;; Léopoldine. Mar 2 Mar - 15:15 | |
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| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Ô venez, venez à moi, pauvre brebis;; Léopoldine. Mar 2 Mar - 15:17 | |
| Ahah, ben oui, faut du drame dans PARIS :D |
| | | Contenu sponsorisé
| Sujet: Re: Ô venez, venez à moi, pauvre brebis;; Léopoldine. | |
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| | | | Ô venez, venez à moi, pauvre brebis;; Léopoldine. | |
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