Je lui aurais volontiers pardonné son orgueil s’il n’avait pas blessé le mien.

JANE WEISS feat. anne-marie van dijk

JANE WEISS • Reconnaissez-vous cet accent nordique ? Je suis née à Paisley en Écosse et donc originaire de la région du Renfrewshire. Une terre natale qui m'est si précieuse je me dois de vous le dire. J'ai actuellement, vingt-six ans. Je suis née le premier mars mille neuf cent quatre quatre. Je reviens d'un voyage qui m'a d'ailleurs été offert par les soins de ma tante. Chez laquelle je vis. Attendant d'avoir mon propre appartement. Je vis de ma plume. J'aime écrire, et j'en ai fais mon métier, ce n'est pas apprécié oui, de la où je vis, la société étant assez archaïque encore. Peut-être qu'avais-je besoin de m'évanouir dans la nature. Et Paris était peut-être la forêt la plus dense.

Me voici, votre chère vieille Léopoldine qui à du partir malencontreusement, parce que son ordinateur s'était pété. Mais elle revient en sorte dans un nouveau corps, une nouvelle tête, et une histoire un peu moins gore. - ceux qui l'ont lu, le comprendront x) – enfin bref. Donc me revoici, REDWINGS en personne . Enfin, c'est pas comme si j'étais une star en même temps XD quinze ans. Et c'est tout je crois. Ah si, bien entendu. Vie parisienne ? Quel galère.

misery angel.

Écrivain ? Une fille de bonne famille ? Je vivrais de ma plume, si c'est ça que vous voulez dire. Une famille noble, une famille riche, une famille de tout ce qu'il n'y a de pas parfait dans le monde. Une famille. Et les Weiss, étaient une famille archaïque, tenant encore les vieilles traditions de mariés leurs filles rapidement, de pratiquer une boulot raisonnable. Et l'écriture n'était aucunement accepté. Le seule moyen de rester neutre était de faire jouer dans les deux camps. Me marié tôt avec quelqu'un qu'ils auront choisis, peu importe, le mariage ne compte pas pour moi, mais pratiquer cette voie qui, elle comptait bien plus que tout. Maman, tu sais que vos traditions m'importe, tu sais que j'en ai rien à faire de me marier ou pas, avec quelqu'un que je connais ou pas. Le seul truc qui me doit être c'est l'écriture. Oui, des romans pour femmes, niais, sans compassion, ni sagesse, de l'irréel ma fille et vois-tu ici, ce n'est pas toléré, qu'est-ce que. Je ripostais, même si je savais déjà que je n'obtiendrais pas raison. Qu'est-ce que les voisins diraient ? Mais peu importe le jugement qu'ils auront de nous. On parle bien de mon bonheur là. Pas d'une vulgaire chose sans attache. Et pour tes informations maman, je ferais des romans simples, avec une morale à la fin, juste, philosophique. Je ne suis pas l'un de ses auteurs sans vertus, ni respect de leur nature humaine. Je sais que je n'arrivais pas à te faire accepter, mais tanpis, je n'ai pas besoin de toi pour que tu l'acceptes. J'irais voir ma tante à Paris, on dit que Versailles nous imprègne de son héritage, comme quoi je n'ai pas besoin du vôtre. Je prenais rarement des choix avec eux. J'étais condamnée à être l'une fille des Weiss, une femme soumise à ses parents et bientôt à un mari fortuné. Tu n'y arriveras pas. Tu n'est pas autonome, c'est nous qui prennent tes décisions très chère. Pour tout, alors aller vivre à Paris, c'est juste inimaginable. Elle avait cet air machiavélique, comme si elle tenait la raison elle même. Comme si elle pouvait me faire changer d'avis. S'en était bien finis. Désormais. Oh non! Vous ne m'avez jamais permis de faire mes propres choix, et Madame Weiss, je vais me gênée. Paris s'offre à moi, je dois vivre ma vie, ma mère étant partie. Je vis son visage changeait de couleur. Mes paroles venait de la déstabiliser. Je venais de lui faire la plus belle déception de sa vie – déjà que j'en étais une, à ne presque jamais obéir – l'écarter de ma vie entièrement. Deux heures plus tard, j'étais dans l'avion qui me ramené à Paris, aéroport Charles de Gaulles.

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Vous a t-on déjà dit que vous aviez les lèvres lascives ? Je leva brusquement ma tête vers cet inconnu aux cheveux bruns. J'arrondissais ensuite l'un de mes sourcils, exprimant ainsi mon étonnement. J'étais seule dans cette pièce à m'occuper inlassablement de mon prochains romans. La couverture avait dû être terminé, mais ce n'était pas le cas. Alors j'étais seule en haut, attendant que cette réunion de famille où mes parents y étaient présents se finissent rapidement. Mon verre de tequila sur le côté. Vous a t-on déjà dit que vous étiez si direct ? Ma bouche forma un léger arc de cercle. Je me redressa de façons à être à sa hauteur. Vous ai-je importuné ?Non. Je me retourna continuant mes petites recherches. J'allais près de la bibliothèque encastré dans le mur. Il avait l'air fort sympathique, étonnement, cynique et orgueilleux. Des préjugés qui, j'en étais persuadée, formé entièrement son caractère. Vous êtes sûre ? Pas le moins du monde, monsieur.. Enchanté, alors. Un inconnu qui ne me dira pas son nom. Et bien, forte heureusement, que j'étais joueuse, et ce mystère absolu j'allais le découvrir seule. Enchantée. Repris-je. Il restait là, planté devant moi, stoïque. Je savais qu'il n'avait qu'une envie – tout comme moi, disons-le clairement – de discussion. De quel région êtes-vous originaire ? me demanda t-il. Alors, je reposa les livres que je tenais entre les mains, faisant de lui désormais, ma principale recherche. Je le regardais, le scrutais entièrement. Il devait être français. Du comté de Renfrewshire. Et vous, je présume que vous êtes de France ? Tout à fait. Renfrewshire, vous n'êtes donc ici que de passage ? Je m'asseyais, l'invitant lui aussi, sur le petit canapé que j'avais moi-même entreposé pour plus de confort. Pourquoi cette question ? J'aurais aimé vous faire visiter Paris. N'alliez-vous pas danser ? On manque cruellement de danseurs à ce que j'ai pu comprendre. Je ne danse que quand l'on m'y oblige. Il avait compris que sa belle proposition ne tiendrait pas. Du moins pas pour le moment. Nous finîmes notre soirée ensemble, en bas, avec tout les autres, y compris mes parents – ce qui m'étonna beaucoup sur le moment – dansant à toutes occasions les traditionnelles – ou pas – danse Écossaise. Semblait-il qu'il les connaissaient lui aussi. Nous n'avions pas ouvert notre bouche depuis les débuts, juste de longs regards, et quelques bref contactes de main. Rien de bien sérieux, mais je venais de trouver la personne en qui me reposer. Et pourtant, son arrogance, sa vanité me laissait encore bouché bée.

x) Pareil, j'étais Léopoldine. Simplement, mon ordi s'est pété entre temps. Et donc plus d'internet pendant deux mois. Alors me voici de retour vu qu'elle m'a annoncé qu'elle le réouvrait (a) et bien c'est qu'on a de l'entourage familier. Manque plus qu'on ai déjà nos adresses msn x)

OOOOOHHHHHH MMMMAAAAA RREEEEEEDDDD
Bienvenue et merci beaucoup de t'être inscrite (:
Anne Marie t'est réservée pour une semaine, bonne continuation pour ta fiche (: