stanislas • i go to sleep, done.

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CLAVEL-WOOD & STANISLAS feat. chace crawford

CLAVEL-WOOD STANISLAS THEOPHILE • On dit que les rumeurs parcourent chacune de nos pensées même implicitement. On dit aussi que les aléas de la vie sont présents pour nous faire grandir et murir. On dit que la vie est l’essence même du bonheur. On dit que la mort nous fait peur. En réalité on dit beaucoup de choses sans savoir vraiment le pourquoi du comment. Je n’ai pas l’humeur et encore la tête pour vous raconter les vestiges de mon passé banal à tant d’autres. Cependant comme vous insistez, et que vos lèvres candides débordent de curiosité, je vais me prêter au jeu stupide que sont les présentations fortuites, sachant que trois minutes plus vous aurez oubliez ma vie insignifiante et je vous y encourage fortement. Certains le remarquent, d’autres pas, mais mon patronyme me vient à la fois de mon paternel et de ma mère. Je porte les deux noms de famille. Descendant d’une famille d’artiste française et d’une haute bourgeoisie britannique, le Sherlock Holmes qui est vous en déduira facilement que j’ai en effet la double nationalité. Affublé du prénom de mon grand père maternel - à savoir Stanislas - j’ai très vite appris à m’y faire sans pour autant me poser plus de questions que cela. Il n’est pas des plus « fondant » dans la masse mais le ridicule ne tue pas après tout. Le suivant en revanche, résulte d’une croyance littéraire en laquelle ma mère croit - encore aujourd’hui - et cela repose sur les épaules anciennes et archivés de Théophile Gautier et de sa fidèle œuvre le Capitaine Fracasse. Livre éponyme que nous avons tous entendus parler au moins une fois au cours de notre cursus scolaire, et qui a certainement marquée la figure maternelle. Enfin bon, c’est un détail auquel j’accorde très peu d’importance. En ayant vu le jour à Londres en Grande Bretagne et après y avoir passé deux années de ma vie, le reste de mon existence s’est déroulée à Paris. Un jour de neige, un jour de premières résolutions avant le début d’un éternel recommencement, un trente et un décembre à minuit précise. Au beau milieu de la capitale britannique, voilà un superbe scénario pour script, mais ne vous égarez pas en chemin. J’ai actuellement vingt quatre années au compteur de vieillesse bien que je vise plus une année de plus sous peu de mois. La curiosité vous fait défaut à ce que je vois, mais pour vous ôtez toutes idées saugrenues mon nombre de petites amies n’a pas de records précis, je ne suis pas du genre à compter comme je ne suis pas vraiment du style à les tromper. Pour autant, je n’ai aimé qu’une seule fois depuis ma naissance et cette demoiselle est devenue ma femme dès lors que je lui ai demandé sa main alors que nous n’avions que dix huit années respectivement. Malheureusement mariage pluvieux, mariage heureux, mais les aléas de la vie l’ont fait disparaitre rapidement et ce sans prévenir. Aux yeux de l’administration je suis un père veuf à ajouté en plus sur la liste. Oui, vous avez bien entendu je père ! Père d’une petite fille de six ans, et grâce à qui la vie me semble plus simple et plus facile chaque jour. Cathy est le centre de mon attention le plus important dans mon quotidien, bien que mon travail en tant que photographe me prenne beaucoup de temps aussi. Cette profession s’est imposée a moins comme du poireau dans une soupe. Après avoir fait des études en arts de la scène, l’envie de changer de voix, d’ambition m’a mené tout droit à l’école de photographie. Nous vivons tous les deux dans une situation confortable et l’argent ne manque pas mais je n’en fais pas une affaire d’état. Si je suis encore présent et si je dois poursuivre un quotidien, je le ferais sans hésiter pour ma gamine, car pour elle je déplacerai des montagnes, elle le petit ange de mon sourire.

blue bird. un pseudo comme un autre et je suis en age de voter - et de boire xD - j'ai connu ce forum par le biais de bazzart le grand. Et je n'ai qu'une chose a dire : vie parisienne ?, quel galère !

Invité

stanislas • i go to sleep, done. Img-205847nw5me

PODCAST

Personne ne connaissait vraiment le fin mot d’une histoire ni même son sens premier. C’était un peu comme lire de la littérature ancienne et grecque tout banalement, et cela vous parait un charabia grandissant au fur et a mesure de la lecture. Mais derrière ce tendre et ardu parcours de dires et d’expressions se cachait un message dont il fallait comprendre une morale, une leçon. Une leçon présentée sous forme de généralité accessible d’un commun accord a l’ensemble du vivant. Malheureusement pour certains mais avantageusement pour d’autres, quelques gens - tout comme un message caché- se fondaient dans l’ensemble d’un décor pour n’être que poussière d’étoile brillant vaillamment aux yeux du monde. Ces êtres là, étaient d’une rareté effarante pour les yeux et d’une douceur extrême pour l’art de littérature. D’eux se dégageaient une prestance charnelle et une expression dépourvus d’émotions qui s’emparaient de leur visage, tels des anges tombés du ciel figé dans le marbre et l’argile. Le jeune Clavel-Wood faisait partit de ceux dont le mystère plane constamment sur son personnage, la personne qu’il est devenu.

Il regardait le monde qui l’entourait en feintant de passer inaperçu, mais manque de chance pour lui, cela tombait toujours a l’eau. Le solitarisme dont il faisait preuve ne faisait qu’accentuer ce coté mystérieux et taciturne de sa personnalité. Et tout cela pourquoi ? Pour éconduire un bon nombre de personne dont il ne souhaitait guère une attache. Des lors, le seul remède salutaire à son fatalisme avait raisonné en son don musical et son comportement de digne ermite. L’apaisement de la partition qu’il jouait présentement transportait son tourbillon de pensées au sommet de sa mémoire qui laissait surgir autour lui, des bribes de souvenirs mélancoliques telle une danse macabre de chandelles moqueuses. Ses doigts rythmés parcouraient seuls les touches lisses et froides du clavier de l’instrument. Il était enfin en accord avec lui-même, dans son univers où la portance de l’art musical prenait enfin forme dans son existence non désirée. Chaque touches avaient son lot de résonnance et chaque son lui remémorait le triste passé qui lui courrait après voila bientôt une année. Le pauvre mystère qu’il était devenu ne songeait qu’à attendre patiemment l’heure où le malin viendrait prendre enfin sa vie - cependant que cette pensait lui était personnel -. Rien ne retenait sa présence si ce n’était sa petite fille de six années, Cathy. Une vague amère vint le secouait des lors qu’il entendit le bruit fort et catégorique de la porte se refermait derrière une silhouette fine et coutumière. Cette dernière s’avança d’un pas énergique vers l’instrument à cordes frappées, et répliqua d’une voix amusée. « Stanislas ! Encore sur ce fichu piano ? ». Il secoua nonchalamment le visage tout en esquissant un tendre sourire à sa frangine. « Moi aussi je suis contente de te voir Claire ! ». Ils rigolèrent ensemble de bon cœur. Bien qu’ils ne demeurent que demi-frère et demi sœur respectivement, une complicité simple et naturelle avait vu le jour notamment grâce à leur âge similairement rapproché. S’appuyant sur le piano, la dénommée Claire déposa son menton entre ses mains et toisa d’un regard interrogateur son ainé. « Je me demandai, tu ne veux pas sortir un soir avec une fille ? ». Dès lors, il ria de nouveau. « Désolé mais non. Pas pour le moment je n’ai pas l’esprit à ça. ». « Oui excuse moi, je suis désolée. C’est que je m’inquiète pour toi. ». « Tout va bien je t’assure. ». Le considérant d’une grimace de désaccord la fine blonde se redressa et chercha d’une œillade curieuse la présence de sa nièce. « Où est passée Cathy ?! ». Laissant son regard azuréen parcourir les dernières notes de la partition qui trônait devant ses prunelles, Stanislas reporta son regard sur son interlocutrice et lui répondit. « A son cours de théâtre, comme chaque samedi. ». « Super je vais la chercher et ensuite l’emmener faire les boutiques ! Et … ». Se levant du siège en velours, le photographe s’avança vers la cuisine où il signe à son fripon de labrador de le suivre. « Désolé sœurette mais aujourd’hui je lui ai promis de passer la journée avec elle. C’est un jour qui lui tient à cœur ... ». Inutile de le questionner sur la raison puisqu’elle résidait en l’anniversaire du décès de la femme de Stanislas, tout simplement. Affichant tout de même une moue méliorative comme toujours pour masquer sa tristesse, le jeune homme lui fit signe de le suivre, car à son tour il devait quitter le logement.

Invité

Chace ! Je veux un lienultrapositif :D

Bienvenue et bonne chance pour ta fiche !

bienvenue et bonne continuation pour ta fiche (:

Invité

Chace!!!! OmG :10:

c'est la fille de dedans moi qui parle
Bienvenue parmi nous et il nous faudra un super lien!

CHACE

Bienvenue et bonne continuation pour ta fiche (:
Par contre, Chace est déjà dans un scénario alors tu devrais voir avec la personne qui a le scéna (a)