tire une bouffée de sa cigarette, blasé Est-ce qu'on est sérieusement obligé de faire ça ? roulement de yeux, soupireUlysse Paxton Wildworth, né le 07 mai 1986.. Si vous savez moindrement calculer, ça fait 24 ans. tire une fois de plus une bouffée de ca cigarette, dont la fumée grisâtre émane d'entre ses lèvres quelques secondes après J'suis né à Liverpool, en Angleterre. Ouais, ouais... Les Beatles... Très bonne technique de drague, soit dit en passant. Ma pause, soupire... Marie, et moi avons déménager à Paris il y a de cela bientôt vingt ans. Comment j'aime ça ? ... rires tant qu'il y a des filles, Ulysse est content. J'ai tendance à parler de moi à la troisième personne.. Bien que ça peut irriter mes pairs, moi ça m'amuse de les voir réagir. tire une fois de plus sur sa cigarette, rejette la fumée grisâtre Je n'ai pas besoin de vous divulger mon orientation sexuelle, vous n'avez qu'à contacter les filles qu'il y a là-dessus tend le portable. lève les yeux vers le haut, réfléchit, reprend son portable... Finalement, ce n'est pas vraiment une bonne idée... Pourquoi ? ... Fausses promesses, mensonge, blablabla... Tout ce genre de choses qu'un gars promet à une fille rien que pour la mettre dans son lit. Ça m'arrive, oui, de faire ça. Assez souvent, pour ne pas dire pratiquement tout le temps. Détrompez-vous, je suis tombé amoureux... Mais l'amour c'est... L'amour. Il n'y a pas d'amour sans larmes. silence Pas que moi j'ai pleuré... roulement de yeux, soupire Là, on s'éloigne un peu trop du sujet. J'suis étudiant en Médecine, spécialisation Cardiologie. silence Ça aussi est une bonne technique de drague. Enfin, ma situation financière est plutôt bonne... Enfin, pour un élève en Médecine, elle est très bonne, même. Présentement, je bosse comme Barman dans un p'tit bar, et ça passe le temps, si on veut. silence J'ai assez parlé. écrase sa cigarette dans le cendrier
II. EVERYBODY WANTS TO BE SOMEBODY
Raconte nous ton histoire en un minimum de vingt lignes. La présentation est au choix, laisse court à ton imagination. Tu peux la faire sous forme de lettre, de journal intime, d'annecdotes ou tout simplement de récit. Essaye d'y intégrer un minimum le caractère de ton personnage, ses attitudes face aux aléas de la vie.
III. YOU CAN'T CHANGE WHO YOU ARE
Bon, bon, bon. On me surnomme tous .BITTERSWEET, mais mon véritable prénom est Vanessa. POR FAVOR ne pas me confondre avec une autre bittersweet, fait deuuux fois que je brise des coeurs. Je ne suis pas faite SI forte. (L)... Ehm.. Je vais avoir 21 ans u__u le 17 juin, et j'ai franchement pas envie. Je voulais arrêter le temps à mes 8 ans, hélas il ne s'est pas arrêté. Je DÉTESTE faire un rêve qui a l'air TELLEMENT réel, mais avoir la déception de me réveiller le matin. J'suis étudiante en Psychologie, j'aime travailler avec les atteints. Je suis de MONTREAL ! Et j'y ai vécu toute ma vie... J'ai connue le forum il y a longtemps, avant son gros changement. Je me suis d'ailleurs inscrite en tant que Lucas Durand-Lesage, et je m'excuse de ne pas avoir terminé la fiche. Mais LÀ JE M'Y MET. J'aime Ed Westwick et les coeurs qu'il est capable de former à mes yeux à toutes les fois qu'il sourit. Sans oublier que quand il dit « I'm Chuck Bass », je ne peux m'empêcher de fondre. J'adore le design du forum. Très zouli. Je vous aime tous et toutes, les enfant. Ah.. Et le code du règlement est ; vie parisienne ?, quel galère !
Dernière édition par Ulysse P. Wildworth le Mer 19 Mai - 6:00, édité 6 fois
Ulysse P. Wildworth
Messages : 16 Date d'inscription : 17/05/2010 Age : 34
tout le monde veut être quelqu'un TON PLUS GRAND PÊCHÉ: Toi, sans doutes. TON ENTOURAGE: TA CHANSON FÉTICHE: I Want You - The Beatles
Sujet: Re: U L Y S S E ♦ donne-moi la main que je ne la prenne pas Lun 17 Mai - 6:23
« J'pense que j'suis fait pour pas avoir de mère. » « Peut-être que ta mère est faite pour ne pas avoir de fils... »
J'AI TUÉ MA MÈRE, Xavier Dolan
« Je suis enceinte », a déclaré une brunette en larmes. Alors que ce moment devrait être le plus beau moment d’un couple, pour elle, c’est visiblement la pire chose au monde qui puisse lui être arrivée. C'est la fin du monde. Tout s'écroule alors qu'elle tient ce maudit bâton blanc indiquant un « + » de couleur rose. Tout commença par une bière… Puis deux… Trois… Pour en finir avec six. Six bières. Six. Ils étaient seuls, un lit était à leur disposition, et ils l’ont utilisés à leur avantage. N’auriez-vous pas fait pareil ? Si vous me dites non, soit que vous êtes complètement menteurs, ou vous êtes simplement prudents. Trop prudents. La prudence... c’est ce qui a laqué chez ces deux jeunes adultes, puisque neuf mois plus tard, elle donna naissance à…
Un garçon. Oui. Un garçon.
« C’est un beau petit garçon, mademoiselle Lenoir ! », si les regards pouvaient tuer, alors Marie aurait commis un meurtre, là, alors qu’ils étaient entrain de sortir l’enfant d’elle. Elle qui voulait tant une fille, elle qui rêvait d’avoir une fille, elle qui se faisait des scénarios où elle lui glissait, telle une poupée, une jolie robe sur son petit corps, avec de jolies petites couettes rousse, car elle allait être rousse cette petite fille, et bouclées de chaque côté de sa tête, elle qui souhaitait de tout son âme d’avoir une petite fille… Elle a eue un garçon. « Un quoi ? », prononça-t-elle d'une voix rauque, refoulant cette colère qui commençait à gronder sa poitrine. « Un beau petit garçon ! », lui répéta le docteur, qui lui montra cette chose couverte de sang qu’il tenait de ses deux mains. Pas un sourire. Pas un seul. Elle regarda cet enfant pleurer, gigoter, se faire peser, mesurer… et tout ce qu’elle pu se dire mentalement fut « C’est une erreur… Je n’ai pas voulu de garçon… Une erreur. » Une erreur.
CINQ ANS PLUS TARD
« Comment a été ta journée à l’école, Ulysse ? », lui demanda sa mère. Le jeune garçon leva les yeux de son plat à la source de cette question et haussa les épaules. « Bien… J’ai eu A+ à mon devoir… », prononce-t-il de sa voix animant un enthousiasme qui se dissous assez rapidement alors que sa mère ne paie aucune véritable attention à ce qu’il dit réellement. « Et... J’ai une petite amie. », dit-il simplement pour la voir réagir. Mais rien. « Ah, c’est bien, c’est bien. », prononce-t-elle toujours en regardant son plat de nourriture. Ce n’est pas vraiment la réaction qu’Ulysse espérait. Alors, continuons… « Et… J’ai battu un garçon cet après-midi parce qu’il a volé mon dîner ». Mensonge, mensonge. Mais même là, aucune réaction. « Je suis un canard », le pauvre, il n’avait plus d’autres idées. Et dire que les conneries allaient attirer l'attention dont il voulait désespérément avoir.. « Je crois que t’as passé le stade où tu te prenais pour un animal, Ulysse », lui murmura sa mère. Roulant les yeux, il replonge son regard sur son assiette qui, clairement, devenait froide alors qu’il tentait d’avoir l’attention de sa mère, et reprend son souper.
C’était ainsi à toutes les fois qu’on, réduit de trois à deux, était à la table. Lorsque mon père était présent, et lorsqu’on vivait encore à Liverpool, les soupers n’étaient pas comme ça. L’interaction entre mon père et moi était beaucoup plus vibrante que l’interaction que j’ai avec ma mère. Lorsque j’étais avec son père, j’avais franchement hâte de quitter la table pour qu’on puisse retourner à nos occupations, gesticule avec les mains soit jouer de la musique ensemble, soit jouer à un sport quelconque dans le jardin… Croyez-le ou non, j’aimais même faire mes travaux scolaires avec mon père. Il avait ce quelque chose que ma mère n’avait, et n’à toujours pas. pause, baisse les yeux quelques secondes Mais toute bonne chose à sa fin. Mes parents se sont séparés, roulement de yeux, ton de voix plutôt blasé entente mutuelle qu’ils ont dit. Et ils m’ont calmement et clairement dit que cette décision n’avait rien avoir avec moi, qu’ils m’aimeraient autant tous les deux malgré leur séparation, et gesticule bla, bla, bla… hoche la tête négativement Mais je savais que tout allait changer. Je savais pertinemment que ma mère allait rester cloitrée dans la maison qu’on avait à Paris, je savais que mon père n’allait plus rappeler après les trois fois qu’il l’a fait. Trois fois où il a eu droit aux cris de ma mère, l’accusant de Dieu sait quoi. roulement de yeux, soupire, silence Je savais que j’avais tout perdu le jour où ils m’ont assis et m’ont annoncé la nouvelle.
Je m’ennuyais de mon père. Je m’ennuyais de l’attention et de l’écoute qu’il me donnait. Je m’ennuyais de nos jeux bidon, de ses blagues à deux balles… Je m’ennuyais de la manière qu’il avait de me persuader de quelque chose, comme quand il m’a fait croire que le père noël était un cowboy. pause, rires Je m’ennuyais de lui, tout simplement. Je voulais être ailleurs… Je voulais être avec lui au lieu d’être avec elle. On dirait qu’à toutes les fois que j’étais en sa présence, une rage bouillait en moi, et ça devenait de plus en plus incontrôlable à travers les années. À cinq ans, tout ce que je voulais était un simple regard…silence Un regard de sa part aurait été l’équivalent au gros lot gagné à la loterie. Après tout, tout ce dont un enfant à besoin à cet âge-là est l’amour d’une mère. J’entendais mes camarades de classer parler de leur mère, comment elle leur faisait ci, comment ils allaient là, comment ci, ça… La mienne n’était tout simplement pas prête à le devenir. Elle est tombée enceinte et a emménagé avec celui qui l'a gonflé tout simplement parce que c'est ce que les autres attendaient d'elle. pause Ouais.. Elle n'était pas prête à devenir mère.
TREIZE ANS PLUS TARD
« Afin de voir que vous avez bien compris le principe, je vais vous demander de faire un oral. L’oral comportera de choisir un de vos deux parents, et de nous le présenter avec tout ce dont on a appris aujourd’hui. La présentation se fera au prochain cours, soit la semaine prochaine. Sur ce, bonne semaine. », et le cours est terminé. Assis maladroitement sur sa chaise, Ulysse fixe le travail avant de pousser un profond soupire. Pas question qu’il présente cette chose qu’il a chez lui… Il se lève, s’approche de l’enseignante tout en balançant son sac sur son épaule, et puis s’arrête devant elle. « Je ne peux pas faire le travail. », déclare-t-il. L’enseignante, elle, arrête de ranger ses articles dans sa mallette et le regarde, confuse. « Pourquoi tu ne peux pas ? » « Parce que je ne vois plus mon père du tout et… Et ma mère est morte. », croisant les bras suite aux propos de son élève, les fins traits du visage de cette enseignante montrent non seulement de la compréhension, mais également de la compassion. Un « Je suis désolé pour toi, Ulysse », émane d’entre les fines lèvres rosées de l’enseignante, alors qu’Ulysse, magnifique acteur qu’il est, hoche positivement la tête et baisse les yeux en signe de tristesse. Si on lui avait demander de pleurer, là, sur le champs, il l’aurait fait. Tout pour ne pas faire un exposé oral devant une classe d’emmerdeurs. « Écoutes… Tu n’auras qu’à me faire une dissertation de deux pages… Tu n’as pas besoin de la présenter devant tout le monde », levant les yeux vers elle, il lui sourit légèrement. La main de son enseignante vient se déposer sur son avant bras, le serrant de manière assez réconfortante. Sans dire un mot de plus, le brunet se dirige vers la sortie de la classe, et l’ombre d’un sourire satisfait orne ses lèvres.
DRIIIING, s’écrie leur téléphone à domicile, brisant la chanson California Dreaming de The Mamas and the Papas, et par conséquent irriter la mère. À la table, silencieux tous les deux, Marie finit par pousser un profond soupire en reculant sa chaise afin de pouvoir se lever et décrocher le téléphone afin qu’il se taise. « Allô ? Hmm, est-ce que je pourrai prendre le message… Je suis sa mère. Euh oui je.. Il vous a dit quoi ?!... », Oh-Oh. Déposant sa fourchette, Ulysse ferme les yeux en inspirant profondément. Ça va barder. « Mhm. Mhm. Je vois. Non. Merci à vous, madame. » Tic, toc, tic, toc… Elle avance. Il l’entend, avec ses talons qu’elle refuse d’enlever avant d’aller au lit. Elle arrête. Il l’entend croiser les bras, il l’entend tout faire, attentif à ses moindres gestes. « Est-ce que j’ai l’air morte ? », lui demande-t-elle d’une voix calme, mais Ulysse sait très bien qu’elle va reposer cette question une deuxième fois, et que cette fois ce sera sur un ton beaucoup, beaucoup plus explosif. Et comme de fait, elle a répété. Et il lui a répondu. Et comme à leur habitude, ils se chicanent, il lui dit que même si essaie s’il combine toutes les caractéristiques d’une mauvaise mère, ce n’est rien comparé à elle, et elle, elle l’accuse de ne plus lui parler, d’être incontrôlable, et intolérable avec tous les mauvais coups qu’il fait au Lycée, spécialement le coup qu’il vient de faire aujourd’hui. Il a dit, elle a dit… Et c’est après qu’il lui ai accusé de son manque de talent en décoration, de son manque de savoir manger sans être capable de se salir le visage, de sa manipulation et de sa culpabilité qu’il demande « Qu’est-ce que tu ferais si je mourrais aujourd’hui ? ». La poitrine montant, descendant, avec rapidité causée par la frustration et la colère, il fixe sa mère, silencieuse, qui le fixe en retour. Le regard dans le regard, la colère dans la même colère. Une minute. Une minute et elle n’a pas prononcé un mot. Hochant négativement la tête de dégoût, il tourne les talons et monte à sa chambre, tel une tornade prête à tout casser. Sa mère, quant à elle, a sa vision obstruée par les larmes qui lui ont montés à ses perles brunes. Et tel un murmure porté par le vent, elle prononce « Je mourrais demain… » tout en fixant l’endroit où leurs regards se croisaient il y a de cela quelques secondes.
Je l’ai entendu. silence Mais je m’en foutais. Tout ce à quoi je pensais était cet incroyable soulagement après avoir prononcé à mon enseignante que ma mère n’était plus de notre monde. Cette satisfaction, ce soulagement, cette euphorie alors que j’ai tué ma mère aux yeux de cette pauvre enseignante qui, sans l’ombre d’un doute, me croyait à cent dix pourcent. pause Mais elle était dans l’ignorance. Tout le monde était dans l’ignorance, sauf moi. Tout ce dont j’avais envie, honnêtement, c’était de m’en aller. Le plus loin possible. l'air légèrement dégoûté Je devais subir ses sauts d’humeurs, son indifférence, sa manipulation, son incroyable dont de me faire sentir coupable dans tout ce dont je faisais. Je l’aimais, quand j’étais petit. Là ?... Je sais plus. C’est ma mère, ouais. Je suis capable de la regarder, d’être à côté d’elle, de lui parler… Mais je ne peux pas être son fils. C’est impossible. Je pourrais être le fils à n’importe qui. pointe le coin de la rue À cette vieille dame au coin de la rue, pointe la maison de la voisine à la voisine… Mais pas d’elle. J’imagine qu’aux yeux des gens, haïr sa mère est un pêché, une abomination. rires C’est un peu hypocrite quand même, non ? glisse une main dans ses cheveux Eux aussi ils ont haï leur mère, j’en suis sûre. C’était peut-être pour des raisons idiotes, c’était peut-être pour de bonnes raisons, ça a peut-être duré une seconde, un mois, un an… pause Mais je m’en fous, ils l’ont quand même fait.
SIX ANS PLUS TARD
[list]« Devine qui c’est ! », prononce une voix familière alors que deux mains se déposent au niveau de ses yeux, bloquant ainsi sa vision et noircissant les alentours restreints. S’il y avait un jeu, un jeu dans l’histoire de l’univers qu’Ulysse détestait le plus, c’était bien celui-là. Il a le don de l’énerver ce jeu. Mais il faut quand même jouer, histoire de ne pas paraître trop arrogant. « La reine ? », dis-il, sans enthousiasme, visiblement blasé par ce jeu qu’elle joue à toutes les fois qu’elle le voit. Poussant un soupire, elle retire ses douces mains de son visage et s’assoit à ses côtés. « Très flatteur, mais non. », et s’ensuivit d’un baiser sur la joue. « Tu viens c’soir ? », lui demande-t-elle, entourant son bras du sien. Ce qu’il déteste quand elle affiche publiquement son affection comme ça.. Se collant à lui comme du velcro. Poussant un profond soupire avant de continuer ce qu’il faisait, soit étudier, il hausse les épaules. « Ulysse Paxton Wildworth qui manque une fête ! On aura tout vu ! », dit-elle tout en se détachant de son bras. Soupire de soulagement, yeux levés vers le ciel dégagé, il sort une cigarette de la poche intérieure de son manteau et l’emmène à ses lèvres, l’allume, et porte son regard sur cette fille à ses côtés. Pauvre petite brebis d’amour… Elle qui croit sincèrement qu’il a un penchant pour elle, elle n’a aucune idée que ce qui l’attire est sa force dans l’exercice à l’horizontal. Que ce ne sont pas ses beaux yeux qui lui plaisent, mais bien ses jambes. Que ce n’est pas la belle odeur de ses cheveux qui l’enivre, mais bien l’odeur de son corps contre le sien. La chaleur qu’ils émanent… Bref, on s’éloigne. Léger sourire alors qu’il reprend ses esprits, il baisse les yeux vers les livres ouvert devant lui, et tire une bouffée de sa cigarette. Lentement, il ferme ses livres, se tourne vers elle. « Une fête sans Ulysse, n’est pas une fête », avant de lui offrir un clin d’œil qui lui rougit ses adorables pommettes. Il a tendance à se parler à la troisième personne, comme vous avez pu le constater. Le fait de se parler ainsi le fait sentir… Supérieur – et accessoirement arrogant. Il ne sait pas pourquoi, mais il aime ce sentiment qui s’empare de lui.
Si j’ai déjà aimé ? soupire Ouais, j’ai déjà aimé. Qui n’a pas aimé ? Celui qui dit le contraire est clairement un menteur. On a tous déjà ressentis les papillons dans notre ventre, on a tous déjà senti notre cœur accélérer sa cadence, nos mains devenir moites, nos jambes prêtes à nous lâcher, le monde sous nos pieds qui cesse sa rotation, le temps s’arrêter… Ouais, ouais… silence … Mais elle est partie alors… passe une main sur sa nuque, s’étirant légèrement … J’ai l’air indifférent à la situation ?... hausse les épaules, les maintient levés C’est… C’est le passé. On ne peut pas changé le passé. On s’est aimés, et c’est tout. Personnellement, je ne voulais pas montrer cette facette de moi à la population parisienne, et elle, elle voulait autrement, alors ça n’a tout simplement pas fonctionné, et nous sommes partis chacun de notre côté. pause Ou plutôt, elle est partie sans me donner signe de vie. ton légèrement plus fortC’est bien, d’ailleurs… Je ne peux pas être fidèle. C’est impossible. J’ai essayé, et c’était une belle perte de temps. L’amour et la fidélité peuvent attendre…
[ Mon histoire a été quelque peu inspirée du film J'ai tué ma mère de Xavier Dolan. (: ]
Dernière édition par Ulysse P. Wildworth le Sam 22 Mai - 21:43, édité 12 fois
A. Jordan Becker
Messages : 10 Date d'inscription : 17/05/2010
Sujet: Re: U L Y S S E ♦ donne-moi la main que je ne la prenne pas Lun 17 Mai - 8:19
Welcome :)
Yseult N. Cartier
Messages : 127 Date d'inscription : 12/05/2010 Localisation : Chez moi